Troudeverre
Prière
( Par annalogisme populaire juif, une priere ne constitue une priere mais une priere; chose etrange car le peuple juif n`a jamais existè en tant que priere. Le solstice de la jeunnesse d`Israel se perpetue en se mentant soi-meme tout en sachant qu l`on n `est pas de ce monde, mais encore, oui, nous sommes nè ici-bas. Les discutions entre deux perssonnalitès juives ( ils sont tous de dieux) ne peut etre nivelè que par le vide de vie qu`il y a entre eux. Ce vide est rempli de magie ou le sens est la mort de celui qui se pose devant son soi disparu. Si la folie existe, ils ne l`ont jamais vue enface. Si les juives n`avaient pas existè, les arbres seraient de 10 klm de haut, les mers nous couvriraient au depouvu, les vents seraient solides et nos parolles feraient de films toutes seules; tellement ce peuple ne peut etre comprit ni par notre mere Mather.)
La prière est un acte codifié ou non, collectif ou individuel, par lequel on s'adresse à Dieu, à une divinité ou à un être désigné comme médiateur de Dieu ou de la divinité.

Maitre Cannonike juif. Il possede l`air que nous respiron. Il habite en Andalousie
On distingue trois types de prières : la prière d'intercession (pour demander un bienfait pour quelqu'un ou pour soi-même), la prière de confession et la prière de gratitude. Elle correspond parfois à une attitude intériorisée, méditative, quand elle ne contient pas explicitement de requête et cherche un sentiment d'unité avec Dieu ou la divinité, comme dans l'oraison silencieuse.
La prière juive
L'interprétation de la halakha (Loi judaïque) par le judaïsme orthodoxe établit que les hommes juifs doivent prier :
- trois fois par jour lors des jours ordinaires (de dimanche à vendredi) : l'office du matin (Sha'harit) est inspiré par le patriarche biblique Abraham, l'après-midi (Min'ha) par Isaac et le soir (Maariv) par Jacob ;
- quatre fois (l'office de Moussaf est alors intercalé après Sha'harit) lors du shabbat hebdomadaire ainsi que la plupart des jours fériés judaïques ; et
- cinq fois (l'office de Né'ila est ajouté en clôture de la journée de jeûne) sur le Yom Kippour.
Les femmes juives doivent prier au moins une fois chaque jour, mais sans une longueur fixe, et le système des prières journalières n'est pas requis pour les femmes.
Le judaïsme du mouvement Massorti traite aussi le système halakhique des prières journalières multiples comme obligatoire. Dès 2002, les juives du mouvement Massorti sont vues comme obligées comme les juifs du mouvement de prier les mêmes prières, et aux mêmes moments de la journée. Les communautés traditionnelles, et les juives à l'individu sont permises de s'abstenir des prières.[1] [archive] [PDF]. Les congrégations du judaïsme libéral utilisent des portions de la liturgie traditionnelle dans les offices, mais ils ne considèrent pas la halakha comme un commandement.
Pour les juifs, il y a une différence entre la prière en communauté (en miniane ou quorum) et la prière privée (personnelle). La prière en communauté est plus désirable, puisque cela permet de pratiquer des portions du rite, comme la lecture du kaddish par exemple, qui ne peuvent être pratiquées sans un quorum.
La plupart de la liturgie juive est chantée ou parlée en rythme avec une mélodie traditionnelle ou un nigoun. Les synagogues peuvent désigner ou même embaucher un hazzan ou chantre afin de diriger la congrégation dans les prières. L'embauche ou la désignation d'un hazzan d'entre les membres de la congrégation par le rabbin de la communauté dépend de la grandeur de la synagogue.
Les prières chrétiennes
Dans les églises catholique, protestantes et orthodoxes, des moines peuvent consacrer leur vie exclusivement à la prière. Toutefois ce n'est pas le cas dans les églises chrétiennes évangéliques, où la vie de prière fait partie de tout croyant qui a vécu la nouvelle naissance.
Base biblique
La prière qui s'appuie sur les promesses de la Bible est un acte fondamental de la foi chrétienne, vécue comme une action de grâce et de communion avec Dieu, une communion d'esprits entre Dieu et les siens. C'est « Dieu le Père » que le croyant prie « au Nom du Seigneur Jésus-Christ ».
Dans l'Évangile selon Jean, Jésus-Christ indique comment prier à ses fidèles : « Et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai » (14:13-14), « En ce jour-là, vous ne m'interrogerez plus sur rien. En vérité, en vérité, je vous le dis, ce que vous demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom. Jusqu'à présent vous n'avez rien demandé en mon nom. Demandez, et vous recevrez, afin que votre joie soit parfaite » (16:23).
Le Notre Père est la prière la plus répandue dans le christianisme car elle a été enseignée par Jésus-Christ lui-même à ses apôtres.
La lecture de l'Évangile, la participation fréquente aux sacrements de la Réconciliation et de l'Eucharistie, en renforçant la foi, augmentent la prédisposition à la prière3.
Des pratiques de méditations, de jeûne et de veille peuvent être associées à la prière, de même que des lectures de textes, bibliques ou non. Pour le croyant, Dieu est accessible partout et la prière peut donc avoir lieu en n'importe quel lieu.
Églises catholique et orthodoxe
Dans les Églises catholique et orthodoxes la prière se tourne vers Dieu, vers les Saints et la Vierge Marie4. Les principales prières sont le Credo, profession de foi en un seul Dieu, et le Notre Père. La prière journalière est la liturgie des Heures, suivie par les congrégations monastiques, les prêtres et les diacres, et conseillée aux laïcs. Traditionnellement, les laïcs prient le matin, le midi (Angélus), le soir et bénissent les repas. L'utilisation d'objets de culte (crucifix, icônes, chapelets, statues, etc.) est courante. Les cultures et les milieux sociaux ont également une grande influence sur les manières de prier. Elle s'appuie sur des liturgies précises et selon des rites particuliers (signe de croix avec les mains, génuflexion, etc).
La Réforme protestante, commencée dans les années 1520, a ramené la prière à ses bases bibliques, notamment avec les cinq solas5. La prière est ainsi à Dieu seul, au nom de Jésus. La prière est plus libre et il n'y a pas de liturgie, ou d'obligation de rite de prière. La prière enseignée par Jésus lui-même, le Notre Père, est aussi récitée par les protestants en règle générale.
La prière, dans les églises chrétiennes évangéliques, s'appuie uniquement sur la bible (Jn 17:17; Jd 1:3; Mt 15:6) 6, 7, 8. Ainsi, elle est faite à Dieu seul (Ex 20:3 ; Mt 6:13), au nom de Jésus (Jn 14:13; Heb 9:15). Le Notre Père est considéré comme un modèle et non une liturgie. Selon eux, la prière prend une nouvelle dimension pour ceux qui ont accepté Jésus, qui ont vécu la nouvelle naissance9.
Le musulman est un monothéiste, il prie Allah (Dieu). Pour lui, Allah est celui qui contrôle le monde et qui répond aux demandes. En effet la plus grande obligation du croyant en Dieu est de le considérer comme Un, de ne pas pratiquer le polythéisme et d'avoir la croyance qu'Allah n'a pas d'associés (les anges, les prophètes et les objets ne sont pas des dieux. Selon l'islam, tout est créé par Allah).
Prière du vendredi à la grande mosquée de Baitul Mukarram, Bangladesh.
La salât, ou salâh (صلاة [ṣalāʰ]) désigne la prière islamique, second des cinq piliers de l'islam. Chaque musulman est tenu d'effectuer cinq prières quotidiennes obligatoires (farâ'idh), tourné vers la Qibla, qui indique la direction de la Ka'ba de La Mecque.
Elle peut être faite à n'importe quel endroit (sauf rares exceptions quand des impuretés sont présentes), bien que pour les hommes, accomplir en groupe à la mosquée les cinq prières canoniques est fortement recommandé ou obligatoire, notamment pour les prières du Vendredi (la plus importante de la semaine) et pour les deux fêtes (Aïd al-kebir et Aïd al-fitr). Elle doit s'accomplir en état d'ablutions (de pureté).
La salât n'est devenue une obligation cultuelle qu'après le "Mi'raj", (l'ascension) du prophète de l'Islam au Ciel, que la tradition situe en l'an 2 avant l'hégire, vers l'an 620 de notre ère. La prière musulmane (salat), demande au croyant de louer la grandeur de Dieu (Allah), de se soumettre à lui, et de lui demander le pardon pour ses péchés. Il faut pour cela s'être purifié par les ablutions et avoir une pureté de l'intention (niyya). La prière musulmane est composée aussi de la prosternation, le moment où le serviteur d'Allah est le plus proche de son dieu. Il se remémore Dieu et se souvient de lui.
D'après les paroles d'Allah (que le croyant musulman croit compilées dans le Coran, le livre saint de l'islam), prier est la manière la plus simple de l'atteindre. La prière ne peut être confinée à un moment ou à un endroit. Parce que les désirs et les besoins des gens ne s'apaisent jamais, leurs prières ne finissent jamais. Il n'existe pas dans le Coran un passage où Dieu ordonne aux musulmans de prier 5 fois dans la journée. Les cinq prières habituelles sont décrites dans les hadiths (paroles du prophète Mahomet). La prière musulmane n'est pas limitée dans le temps et chaque individu peut prier à tout moment car Allah, pour les musulmans, ne dort jamais (Qayoum).
En plus de la prière rituelle (salât), l'invocation d'Allah, par le tasbih, le dikhr,ou le douâa sont considérés comme une des formes de prières en Islam10,11,12.
Dans le bouddhisme theravāda ou le bouddhisme Zen, les moines ne prient pas car la prière n'a pas de sens en raison de l'impersonnalité des êtres, hors d'une pratique de dévotion laissée au commun du peuple. L'attachement aux rites ou la croyance aux effets de la prière (silavrata-paramarsa) fait d'ailleurs partie des dix liens qu'il faut briser pour parvenir à l'Eveil. Selon S. N. Goenka : « Il n'est pas correct de prier le Bouddha pour lui adresser une demande, ce n'est pas dans son enseignement. Un être libéré ne fait que montrer le chemin, c'est à vous de faire les efforts nécessaires pour atteindre le but. »13. Plusieurs textes (par exemple l'Asibandhakaputta Sutta, SN 42.6) indiquent l'inutilité des prières.
Dans le bouddhisme tibétain, la prière est un accompagnement des pratiques comme la méditation ou les enseignements14. Elle est parlée ou chantée et permet d'avoir une intention altruiste et de se concentrer sur un but : l'éveil. Pour prendre refuge, on commence en ces termes : "En le Bouddha, le Dharma et le Sangha, je prends refuge jusqu'à l'éveil", ce qui signifie que l'on va vers le Bouddha, son enseignement, et la communauté bouddhique. Ensuite on remercie d'autres personnages importants du bouddhisme pour leur apport au monde. On peut aussi prier lors des repas pour remercier les bouddhas et les circonstances d'avoir à manger.
Sénat des États-Unis
Chaque session du Sénat s'ouvre par une prière prononcée par l'Aumônier du Sénat des États-Unis.
Prière et effets possibles sur la santé[modifier
Diverses études ont examiné la question des effets physiologiques ou psychologiques des prières ou de la méditation dont quelques études médicales, en particulier en Amérique15.
Une expérience ayant causé un scandale, menée à l'université Columbia (New York) et publiée en septembre 2001 dans The Journal of Reproductive Medicine, prétendrait à un impact de la prière16. L'étude était censée porter sur 199 femmes coréennes en attente de fécondation in vitro et sur des prières faites par divers groupes de prière aux États-Unis, au Canada et en Australie, qui ne connaissaient les femmes que par leur photo. Il s'est par la suite avéré que cette étude était une fraude scientifique, dans laquelle un des auteurs était un imposteur et a, par la suite, été inculpé pour crimes à plusieurs années de prison à la suite d'une enquête par le FBI17. Le professeur Lobo a exigé que son nom soit publiquement dissocié de cet article auquel il n'avait pas collaboré, allant de même pour l'université Columbia18.
Les études réalisées à l'université de Princeton, rapportées par le controversé Jean-Jeacques Charbonier19, conclueraient à l'efficacité de la guérison spirituelle. Cependant, elles ne préjugent pas de savoir si c'est une autoguérison induite par le développement de pensées positives, par la production d'un effet placebo, par l'effet bénéfique d'un stress bien géré ou par une aide extérieure venue de Dieu20.
L'American Heart Journal a publié une étude en avril 2006 sur les effets thérapeutiques de la prière sur des cardiaques et tend à démontrer que la prière n'aide pas au rétablissement de malades ayant subi un pontage coronarien, mais pourrait au contraire même entraîner des complications21. Cette étude a eu lieu de 1998 à 2000 et a porté sur 1 802 patients répartis dans six hôpitaux américains. Les malades ont été répartis en trois groupes et l'expérience ne permet pas de conclure à un effet de la prièreNote 1 :
- Groupe 1 : Les malades sont informés qu'ils vont peut-être faire l'objet de prières, et ils bénéficient de prières ;
- Groupe 2 : Les malades sont informés qu'ils vont peut-être faire l'objet de prières, et ils ne bénéficient pas de prières ;
- Groupe 3 : Les malades sont informés qu'ils vont faire l'objet de prières, et ils en bénéficient effectivement.
Prière et fonctionnement cérébral
Mario Beauregard a étudié le cerveau des carmélites en prière. Il n'est pas parvenu à localiser un centre de prière au niveau cérébral car cette activité paraît trop complexe pour avoir une topographie précise lobes préfrontaux, pariétaux et temporaux. En revanche, il mit en évidence une activité électrique du cerveau prépondérante (rythme thêta ou delta, de 4 à 7 Hz) au moment de la prière témoignant d'un niveau spécifique de concentration constant22. Ce rythme lent est prédominant en période de sommeil profond et quasi inexistant en état de veille23.
Dans d'autres cas, la méditation peut correspondre à une accélération de l'activité électrique cérébrale. Richard Davidson, chercheur au Laboratoire de neurosciences du Wisconsin a étudié les électroencéphalogrammes de moines bouddhistes habitués à méditer. Le degré d'activité des cerveaux était très élevé : après être passés par une courte période d'ondes alpha lentes variant de 8 à 13 Hz, les moniteurs EEG affichèrent des vagues dans des fréquences gamma très rapides, de 25 à 70 Hz24.
Prière d'intercession et longévité
Une étude publiée en 2021 dans le identifiant wikidata inconnu">Journal of Religion & Health (d) effectue une analyse statistique à partir de données issues de Wikidata pour mesurer si la prière d'intercession a eu un effet sur la longévité de 857 évêques et 500 prêtres de six pays catholiques morts ces trente dernières années, en comparaison avec une cohorte de 3038 universitaires masculins de ces mêmes pays et morts dans ce même temps. L'étude ne révèle aucune différence significative entre les évêques et les universitaires, et une différence légèrement défavorable pour les prêtres. Il est calculé qu'un évêque lambda peut être le destinataire sur un an de 330 000 (en France) à douze millions (au Mexique) de prières d'intercession, sans que celles-ci, conclut l'étude, n'ait aucun effet sur leur longévité25.
Halakha
La Halakha (hébreu : הלכה « Voie », Halokhe selon la prononciation ashkénaze, plur. halakhot) regroupe l'ensemble des prescriptions, coutumes et traditions collectivement dénommées « Loi juive ».
Essentiellement fondée sur la Bible hébraïque et, dans le judaïsme rabbinique, sur le Talmud, la Halakha guide la vie rituelle ou les croyances de ceux qui la suivent et les nombreux aspects de leur vie quotidienne. Basée sur les acquis des générations précédentes et les discussions et débats portant sur les problèmes de la génération présente, elle connaît de nombreuses variantes entre les diverses communautés et factions juives, du fait de leur dispersion dans le temps et l'espace.
Elle est, jusqu'à l'ère moderne, le pilier et ciment de nombreuses communautés juives, qui sont régies par ses règles civiles et religieuses. Avec l'avènement de la Haskala et de l'émancipation des Juifs, ceux-ci se retrouvent citoyens de pays pratiquant la « séparation de l'Église et de l'État », et elle devient pour beaucoup « facultative ». De nouveaux courants émergent qui s'écartent du modèle traditionnel, renommé orthodoxe, pour proposer des alternatives plus souples et moins fidèles aux sources, tandis que les courants demeurés observants campent sur les lois en vigueur jusque-là voire ne tolèrent plus le moindre changement ou nouveauté. L'État moderne d'Israël, en sa qualité d'« État juif », se fonde partiellement sur la Halakha orthodoxe pour quelques domaines de statuts familiaux et personnels, notamment les lois sur le mariage et le divorce.
Les premières lois sont données dès le Livre de la Genèse avec l'obligation de procréer donnée au premier couple, la circoncision donnée à Abram, et la coutume de ne pas manger le nerf sciatique à la suite du combat de Jacob avec l'ange. Cependant, c'est à partir d'Ex 12. 2 [archive] que les lois spécifiquement mosaïques, à commencer par la sanctification du nouveau mois, sont prescrites au travers des livres de l'Exode, du Lévitique et des Nombres. Elles sont ensuite récapitulées dans le livre du Deutéronome.
Le langage de la Torah est souvent laconique voire lacunaire : l'interdiction de travailler à chabbat, l'abattage rituel, le libelle de divorce, la tente dans laquelle habiter sept jours et nombre d'autres rites ou lois sont prescrits sans plus de détails. La Torah fait également usage de mots à occurrence unique et de tournures ou expressions inhabituelles voire incongrues. C'est pourquoi les lois écrites donnent lieu à diverses interprétations dès leur rédaction ; certaines se retrouvent dans les livres ultérieurs au Pentateuque, d'autres demeurent orales.
L'abstention de consommer le ligament de la hanche (hébreu : איסור אכילת גיד הנשה issour akhilat guid hanashè, litt. interdit de consommer le ligament sauteur) est une coutume juive qui a acquis force de loi et est devenue l'une des règles de la cacherout de la viande.
Le « ligament sauteur », identifié au nerf sciatique, se situe sur la partie postérieure de la hanche chez la plupart des animaux, et doit être retiré par la procédure du nikkour a'horayim avant que cette partie de la chair puisse être consommée.
Le ligament de la hanche dans les sources juives
L'abstention de consommer le ligament de la hanche trouve sa source dans le combat de Jacob contre son adversaire à Penïel (dans le récit du livre de la Genèse, cet adversaire est appelé « homme » mais le livre d'Osée 12:4-5 qui fait référence à cet épisode, indique : « [...] dans sa virilité, [...] il lutta contre un ange et fut vainqueur, et celui-ci pleura et demanda grâce »).

« Voyant qu'il ne pouvait le vaincre, il lui pressa la cuisse, et la cuisse de Jacob se luxa tandis qu'il luttait avec lui » (Genèse 32:26). Bien que vainqueur, et renommé Israël pour son haut-fait, Jacob ressort de la lutte boîteux. « C'est pourquoi les enfants d'Israël ne mangent point aujourd'hui encore le guid hanashè, qui tient à la cavité de la cuisse; parce que Jacob fut touché à la cavité de la cuisse, sur le guid hanashè » (Genèse 32:33)
Les rabbins enseignent que l'abstention de consommer le ligament de la hanche a valeur de prescription divine car elle a été donnée à Moïse sur le mont Sinaï, et c'est lui qui l'a insérée dans le livre de la Genèse afin d'en donner l'explication. La tossefta sur ce passage justifie la décision par l'exégèse de Genèse 32:33, indiquant que le verset porte non « fils de Jacob », qui n'aurait concerné que les douze fils et indiqué l'origine humaine de cette coutume, mais « fils (enfants) d'Israël », c'est-à-dire tous ceux qui se trouvent devant Moïse sur le mont Sinaï1.
L'obligation de retirer le ligament des hanches dans son intégralité est en vigueur en tout lieu et en tout temps, que la viande soit destinée ou non à la consommation, et que celle-ci soit effectuée dans un contexte « profane » ou « sacré ». Le retrait doit être effectué dans la hanche gauche comme la hanche droite, chez les animaux qui en sont pourvus, ce qui ne s'applique pas à la volaille, et n'a pas cours si la bête est impure (donc impropre à la consommation ab initio). Bien que la Torah ne mentionne que « la cavité de la cuisse », soit la portion interne, les sages d'Israël étendent la prescription aux ligaments sur la face externe, soit la partie postérieure de la hanche. L'abstention de consommer le ligament de la hanche étant une loi biblique, tout manquement à celle-ci entraîne une peine de flagellation ; par ailleurs, une viande cuite sans retrait du ligament est interdite à la consommation si son goût est perçu2.
Mossadde priere desttenyy
Ces crapules, constituent le dernier bastion de la terre en libertè; ils possedent un pouvoir economique a la banque juddhiaahf en Bremen appellèe Banque Nhurember.
Synagogue
( Site eternele ou se passent les designes des dieux. Pour les saints juifs ( meme vous et moi), ces endroits possedent un archetype collè vers le bas qui corresponde a toutes les richesses que la terre possede enterrè. Les synagogues d`esculpture celestialh on la forme suivante:

Elles sont toutes dans le coin gauche ou il y a une banque goy. L`Adermopernnopiles de la perssonnalitè juive ne peut se distinguer que par la nonhurhaminhenhalithumisch qu`est evidente a tout le monde. Ils se repetent cela lorsque ils batissent ces choses seulement pour demontrer a leurs dieux qu`il ne possedent pas notre folie, car nous sommes intelligents et eux, extremement cons.)
Une synagogue , [a] parfois appelée shul, [b] et utilisée de manière interchangeable avec le mot temple , [c] est une maison de culte juive . Les synagogues ont un lieu de prière (le sanctuaire principal et parfois des chapelles plus petites ), où les Juifs assistent à des services religieux ou à des cérémonies spéciales (y compris les mariages , les Bar Mitzvah ou les Bat Mitzvah , les Confirmations , les représentations de chorale ou même les pièces de théâtre pour enfants), ont des salles d'étude, des salles sociales, des bureaux administratifs et caritatifs, des salles de classe pour l'école religieuse et l'école hébraïque , parfois des écoles maternelles juives , et ont souvent de nombreux endroits pour s'asseoir et se rassembler ; afficher des œuvres d'art commémoratives, historiques ou modernes partout ; et ont parfois des objets d'une certaine importance historique juive ou de l'histoire de la synagogue elle-même, exposés.
Les synagogues sont des espaces consacrés utilisés à des fins de prière juive , d'étude, d'assemblée et de lecture de la Torah (lue dans son intégralité une fois par an en portions hebdomadaires de la Torah pendant les services religieux). Cependant, une synagogue n'est pas toujours nécessaire pour le culte juif, en raison des adaptations pendant les périodes de persécution juive dans les pays et régions qui ont interdit le judaïsme, détruisant et/ou se réappropriant fréquemment les synagogues dans des églises ou même des bâtiments gouvernementaux. La Halakha ("loi" juive ou Mitsvot , de la Mishna - la "Torah orale") stipule que le culte juif communautaire peut être pratiqué partout où un minyan(un groupe d'au moins 10 adultes juifs) est réuni. Le culte peut également avoir lieu seul ou avec moins de 10 personnes, mais il existe certaines prières qui sont considérées par la halakha comme uniquement communautaires, et celles-ci ne peuvent donc être récitées que par un minyan , selon la secte du judaïsme. De par ses fonctions rituelles et liturgiques spécifiques, la Synagogue ne remplace pas le symbole du Temple longtemps détruit de Jérusalem (1er ou 2e Temple).
Les Israéliens utilisent le terme hébreu beyt knesset "maison d'assemblée". Les juifs hassidiques ultra-orthodoxes ont traditionnellement utilisé le terme yiddish occidental (yiddish-allemand) shul (apparenté à l' allemand Schule , «école») dans le discours de tous les jours. Les juifs séfarades et les juifs romaniotes utilisent généralement le terme kal (de l'hébreu ḳahal , signifiant « communauté »). Les juifs espagnols appellent la synagogue une esnoga et les juifs portugais l'appellent une sinagoga . Juifs persans et certainsLes juifs karaïtes utilisent également le terme kenesa , dérivé de l' araméen , et certains juifs mizrahi utilisent kenis ou qnis . La plupart des Juifs réformés et conservateurs utilisent le mot temple de manière interchangeable avec Synagogue. Le mot grec synagogue est utilisé en anglais pour couvrir les possibilités précédentes. [2]
Bien que les synagogues existaient longtemps avant la destruction du Second Temple en 70 EC, le culte communautaire à l'époque où le Temple se tenait encore se concentrait principalement sur les korbanot apportés par les Kohanim (lignée sacerdotale aaronique de la succession rabbinique) dans le Temple de Jérusalem . Le service de Yom Kippour toute la journée était un événement au cours duquel la congrégation observait à la fois les mouvements du kohen gadol (« grand prêtre ») alors qu'il présidait les traditions et les processions de la journée, et administrait des prières pour le succès.
Selon la tradition juive, les hommes de la Grande Assemblée (vers le 5ème siècle avant notre ère) ont formalisé et standardisé le langage des prières juives. [3] Avant cela, les gens priaient comme ils l'entendaient, chacun priant à sa manière, et aucune prière standard n'était récitée. [ citation nécessaire ]
Johanan ben Zakai , l'un des dirigeants à la fin de la période du Second Temple , a promulgué l'idée de créer des maisons de culte individuelles dans n'importe quel endroit où les Juifs se trouvaient. Cela a contribué à la continuité du peuple juif en maintenant une identité unique et un mode de culte portable malgré la destruction du Temple, selon de nombreux historiens.
Les synagogues dans le sens d'espaces spécialement construits pour le culte, ou de salles construites à l'origine à d'autres fins mais réservées à la prière formelle et communautaire, existaient cependant bien avant la destruction du Second Temple. [4] [ source non fiable ? ] La première preuve archéologique de l'existence de synagogues très anciennes vient d'Égypte, où des inscriptions en pierre de dédicace de synagogue datant du 3ème siècle avant notre ère prouvent que des synagogues existaient à cette date. [5] [ source non fiable ? ] Plus d'une douzaine de synagogues juives (et peut-être samaritaines ) de la période du Second Temple ont été identifiées par des archéologues en Israël et dans d'autres pays appartenant aumonde hellénistique . [4]
Tout juif ou groupe de juifs peut construire une synagogue. Les synagogues ont été construites par d'anciens « rois » juifs (le mot anglais « roi » a un contexte différent perdu dans la traduction anglaise ; il se traduit plus adéquatement par « chef »), par de riches mécènes, dans le cadre d'un large éventail d'institutions humaines, y compris laïques. les établissements d'enseignement, les gouvernements et les hôtels, par l'ensemble de la communauté juive vivant dans un village ou une région particulière, ou par des sous-groupes de personnes juives réparties selon l'occupation, l'ethnie (c'est-à-dire les juifs séfarades, yéménites , polonais ou persans d'une ville ), le style d'observance religieuse (c.
Il a été théorisé que la synagogue est devenue un lieu de culte dans la région lors de la destruction du Second Temple pendant la première guerre judéo-romaine ; cependant, d'autres spéculent qu'il y avait eu des lieux de prière, en dehors du Temple, pendant la période hellénistique. La vulgarisation de la prière sur le sacrifice au cours des années précédant la destruction du Second Temple en 70 EC [6] avait préparé les Juifs à la vie dans la diaspora, où la prière servirait de centre de culte juif.
Malgré la possibilité [ douteuse - discuter ] d'espaces de type synagogue avant la première guerre judéo-romaine, la synagogue est devenue un bastion du culte juif lors de la destruction du temple. Pour les Juifs vivant à la suite de la Révolte, la synagogue fonctionnait comme un "système de culte portable". Dans la synagogue, les Juifs adoraient par la prière plutôt que par des sacrifices, qui constituaient auparavant la principale forme de culte dans le Second Temple.
En 1995, Howard Clark Kee a fait valoir que les synagogues n'étaient pas une caractéristique développée de la vie juive avant la première guerre judéo-romaine (66-73 CE). [9] Kee a interprété ses découvertes comme une preuve que les mentions de synagogues dans le Nouveau Testament, y compris les visites de synagogues par Jésus dans diverses colonies juives d'Israël, étaient anachroniques. Cependant, en 2018, Mordechai Aviam a rapporté qu'il y avait maintenant au moins neuf synagogues découvertes avant la destruction du temple de Jérusalem en 70 CE, y compris à Magdala, Gamla, Massada, Herodium, Modi'in (Kh. Umm el -'Umdan), Qiryat Sepher (Kh. Bad 'Issa), et Kh. Diab. Aviam a conclu qu'il pensait que presque toutes les colonies juives de l'époque, que ce soit une polis ou un village, avaient une synagogue. [dix]
- Gamla - une synagogue a été découverte près de la porte de la ville à Gamla, un site du Golan au nord-est de la mer de Galilée. [11] Cette ville a été détruite par l'armée romaine en 67 CE et n'a jamais été reconstruite.
- Massada - une synagogue a été découverte du côté ouest de Massada, juste au sud du complexe du palais à l'extrémité nord du site. L'une des découvertes uniques de cette synagogue était un groupe de 14 rouleaux, qui comprenait des documents bibliques, sectaires et apocryphes. [12]
- Hérodion - une synagogue du 1er siècle a été découverte dans la forteresse du palais d'Hérode à Hérodion. [13]
- Magdala - également connue sous le nom de synagogue Migdal, cette synagogue a été découverte en 2009. L'une des caractéristiques uniques de cette synagogue, située sur la rive ouest de la mer de Galilée, est un bloc de pierre finement sculpté qui a été trouvé au centre de la pièce principale. [14]
- Modi'in - Découverte entre Modi'in et Latroun est la plus ancienne synagogue d'Israël moderne qui ait été découverte à ce jour, construite au deuxième siècle avant notre ère. Il comprend trois salles et un mikvé voisin .
Le rabbin et philosophe Maïmonide (1138-1204) a décrit les diverses coutumes de son époque concernant les synagogues locales :
Les synagogues et les maisons d'étude doivent être traitées avec respect. Ils sont balayés et aspergés [d'eau] pour déposer la poussière. En Espagne et au Maghreb , en Babylonie et en Terre Sainte , il est d'usage d'allumer des lampes dans les synagogues et d'étendre des nattes sur le sol sur lequel s'assoient les fidèles. Dans les pays d'Edom ( chrétienté ), ils sont assis dans les synagogues sur des chaises [ou des bancs].
La maison de culte samaritaine est aussi appelée synagogue. [17] Aux IIIe et IIe siècles avant notre ère, à l'époque hellénistique, le mot grec utilisé dans la diaspora par les samaritains et les juifs était le même : proseucheμ (littéralement, un lieu de prière) ; une inscription ultérieure, du 3ème ou 4ème siècle de notre ère, utilise un terme grec similaire: eukteμrion (maison de prière). [17] La plus ancienne synagogue samaritaine découverte à ce jour est celle de Délos dans les îles de la mer Égée , avec une inscription datée entre 250 et 175 av.en particulier, ont été construits au cours des 4e-7e siècles, à la toute fin de l'époque romaine et tout au long de la période byzantine. [17]
Éléments distinctifs
Les éléments qui distinguent les synagogues samaritaines des synagogues juives contemporaines sont :
- Alphabet : l'utilisation de l' écriture samaritaine [17]
- Orthographe . Lorsque l'écriture samaritaine est utilisée, il y a des mots hébreux qui seraient orthographiés d'une manière typique uniquement pour le Pentateuque samaritain , par exemple "pour toujours" est écrit 'lmw au lieu de l'lm. [17] Lorsque le grec est la langue utilisée dans les inscriptions, généralement, les Samaritains peuvent contracter deux mots hébreux en un seul, tels har (montagne) et Gerizim devenant, en grec, Argarizein . [17]
- Orientation : la façade, ou l'entrée de la synagogue samaritaine, fait généralement face au mont Garizim , qui est le lieu le plus sacré des Samaritains, tandis que les synagogues juives seraient orientées vers Jérusalem et le mont du Temple. [17]
- Décoration : le sol en mosaïque et d'autres éléments architecturaux ou artefacts sont parfois décorés de symboles typiques. [17] Comme les Samaritains ont historiquement adhéré plus strictement au commandement interdisant la création de toute "image gravée" , ils n'utiliseraient aucune représentation d'homme ou de bête. [17] Les représentations des signes du zodiaque, de figures humaines ou même de divinités grecques comme le dieu Hélios , comme on le voit dans les synagogues juives de la période byzantine, seraient inimaginables dans les bâtiments samaritains de toute période.
Une représentation du mont Garizim est une indication claire de l'identité samaritaine. [17] D'autre part, bien que l'existence d'un temple samaritain sur le mont Gerizim soit à la fois mentionnée par Josèphe et confirmée par des fouilles archéologiques à son sommet, la destruction précoce du temple au IIe siècle avant notre ère a conduit à la disparition de sa mémoire de la tradition samaritaine, afin qu'aucun élément lié au temple ne soit trouvé dans les représentations de la synagogue samaritaine. [17]
Ustensiles religieux, tels que ceux qui sont également connus des mosaïques de synagogues juives anciennes ( menorah , shofar , table de pain de proposition, trompettes, pelles à encens, et plus particulièrement la façade de ce qui ressemble à un temple ou à un sanctuaire de la Torah) sont également présents chez les Samaritains, mais les objets sont toujours liés au Tabernacle du désert , à l' Arche d'Alliance dans le Tabernacle ou au sanctuaire de la Torah dans la synagogue elle-même. [17] Les Samaritains croient qu'à la fin des temps, le Tabernacle et ses ustensiles seront récupérés de l'endroit où ils ont été enterrés sur le mont Gerizim et, en tant que tels, jouent un rôle important dans les croyances samaritaines. [17]Puisque les mêmes artistes, comme les mosaïstes, travaillaient pour toutes les communautés ethno-religieuses de l'époque, certaines représentations pourraient être identiques dans les synagogues samaritaines et juives, les églises chrétiennes et les temples païens, mais leur signification serait différente. [17]Les images souvent trouvées dans les synagogues juives seraient absentes des sols des synagogues samaritaines : le loulav (branche de palmier) et l' etrog (fruit ressemblant à un citron) ont une utilisation rituelle différente par les Samaritains célébrant Souccot et n'apparaissent pas sur les sols en mosaïque. [17]
- Bains rituels près de la synagogue après 70 CE : les Juifs ont abandonné l'habitude de construire des mikva'ot à côté de leurs lieux de culte après la destruction du Temple de Jérusalem en 70 CE , mais les Samaritains ont continué la pratique.
Découvertes archéologiques
Les anciennes synagogues samaritaines sont mentionnées par des sources littéraires ou ont été découvertes par des archéologues de la diaspora, de la Terre sainte au sens large et plus particulièrement de la Samarie. [17]
Diaspora
- Synagogue de Délos : une inscription samaritaine a été datée entre 250 et 175 avant notre ère. [17]
- Rome et Tarse : la littérature ancienne offre des indices selon lesquels des synagogues samaritaines auraient pu exister dans ces villes entre le IVe et le VIe siècle de notre ère. [17]
- Thessalonique et Syracuse : de courtes inscriptions qui s'y trouvent et utilisant l'alphabet samaritain et grec peuvent provenir de synagogues samaritaines. [17]
La Terre Sainte au sens large
- Synagogue Sha'alvim , découverte en Judée, au nord-ouest de Jérusalem. Probablement construit au 4ème ou 5ème siècle de notre ère et détruit au 5ème ou 6ème. [17]
- Synagogue Tell Qasile , construite au début du VIIe siècle de notre ère [17]
- Beth Shean , "Synagogue A". Une pièce ajoutée à un bâtiment existant à la fin du VIe ou au début du VIIe siècle de notre ère servait de synagogue samaritaine. [17]
Samarie
- Synagogue El-Khirbe, découverte c. À 3 km de Sebaste , a été construit au 4ème siècle de notre ère et est resté en usage jusqu'au début de la période islamique, avec une pause entre la fin du 5ème et le début du 6ème siècle [17]
- Synagogue de Khirbet Samara , v. 20 km au nord-ouest de Naplouse et construit au 4ème siècle CE [17]
- Synagogue de Zur Natan, v. 29 km à l'ouest de Naplouse et construit au 5ème siècle CE [17]
Christianisme
Dans le Nouveau Testament , le mot apparaît 56 fois, principalement dans les Évangiles synoptiques , mais aussi dans l' Évangile de Jean ( Jean 9 :22 ; 18 :20 ) et le Livre de l'Apocalypse ( Apoc. 2 :9 ; 3 :9 ) . Il est utilisé dans le sens d'« assemblée » dans l' épître de Jacques ( Jacques 2 :2 ). Alternativement, l'épître de Jacques (en grec, clairement Ἰάκωβος ou יעקב, anglicisé à Jacob) fait référence à un lieu d'assemblée qui était effectivement juif, avec Jacob ben Joseph peut-être un ancien là-bas. Le mot spécifique dans Jacques (Jacob) 2: 2 pourrait facilement être rendu "synagogue", du grec συναγωγὴν.
Au cours des premiers siècles chrétiens, on suppose que les chrétiens juifs ont utilisé des lieux de culte connus dans la littérature académique sous le nom d'églises-synagogues. Les érudits ont affirmé avoir identifié de telles maisons de culte des Juifs qui avaient accepté Jésus comme Messie à Jérusalem [18] et à Nazareth . [19] [20]
Conception architecturale
Vue aérienne de la synagogue de la communauté juive de Kaifeng en Chine.Article principal: architecture de la synagogue
Il n'y a pas de plan directeur pour les synagogues et les formes architecturales et les conceptions intérieures des synagogues varient considérablement. En fait, l'influence d'autres édifices religieux locaux peut souvent être vue dans les arcs, les dômes et les tours des synagogues.
Historiquement, les synagogues ont été construites dans le style architectural dominant de leur époque et de leur lieu. Ainsi, la synagogue de Kaifeng, en Chine, ressemblait beaucoup aux temples chinois de cette région et de cette époque, avec son mur extérieur et son jardin ouvert dans lequel plusieurs bâtiments étaient disposés. Les styles des premières synagogues ressemblaient aux temples des autres cultes de l' Empire romain d'Orient . Les synagogues survivantes de l'Espagne médiévale sont ornées de plâtres mudéjars . Les synagogues médiévales qui subsistent à Budapest et à Prague sont des structures gothiques typiques .
Avec l'émancipation des Juifs dans les pays d'Europe occidentale, qui a non seulement permis aux Juifs d'entrer dans des domaines d'activité dont ils étaient auparavant interdits, mais leur a donné le droit de construire des synagogues sans avoir besoin d'autorisations spéciales, l'architecture des synagogues s'est épanouie. De grandes communautés juives ont voulu montrer non seulement leur richesse mais aussi leur statut nouvellement acquis de citoyens en construisant de magnifiques synagogues. Ceux-ci ont été construits à travers l'Europe occidentale et aux États-Unis dans tous les styles historicistes ou de renaissance alors à la mode. Ainsi, il y avait néoclassique , néo-byzantin , néo- roman , néo- mauresque, néo - gothique et néo- grec . Il y aSynagogues néo- égyptiennes et même une synagogue néo-maya . Au XIXe siècle et au début du XXe siècle, à l'apogée de l'architecture historiciste, cependant, la plupart des synagogues historicistes, même les plus magnifiques, n'ont pas tenté un style pur, ni même un style particulier, et sont mieux décrites comme éclectiques.
Bimah
Toutes les synagogues contiennent une Bimah , une grande plate-forme de lecture surélevée (appelée teḇah (estrade de lecture) par les séfarades), où le rouleau de la Torah est placé pour être lu. Dans les synagogues séfarades, il est également utilisé comme pupitre de lecture du priant. [21] C'est également le cas dans la synagogue Ashkenazi United en Angleterre, au Royaume-Uni, qui a adopté certaines des coutumes séfarades.
L' Arche de la Torah , appelée en hébreu ארון קודש Aron Kodesh ou 'coffre sacré', et alternativement appelée le heikhal - היכל ou 'temple' par les Juifs sépharades , est une armoire dans laquelle les rouleaux de la Torah sont conservés.
L'arche dans une synagogue est presque toujours positionnée de telle manière que ceux qui lui font face sont tournés vers Jérusalem . Ainsi, les plans de sièges des sanctuaires du monde occidental font généralement face à l'est , tandis que ceux à l'est d'Israël font face à l'ouest. Les sanctuaires en Israël font face à Jérusalem. Parfois, les synagogues font face à d'autres directions pour des raisons structurelles; dans de tels cas, certaines personnes peuvent se tourner vers Jérusalem lorsqu'elles se tiennent debout pour prier, mais la congrégation dans son ensemble ne le fait pas.
L'Arche rappelle l' Arche d'Alliance , qui contenait les tablettes inscrites avec les Dix Commandements . C'est le lieu le plus sacré d'une synagogue, équivalent au Saint des Saints . L'Arche est souvent fermée par un rideau orné, le parochet פרוכת , qui pend à l'extérieur ou à l'intérieur des portes de l'arche.
Le mouvement réformiste germano-juif , né au début du XIXe siècle, a apporté de nombreux changements à l'apparence traditionnelle de la synagogue, conformément à son désir de rester simultanément juif tout en étant accepté par la culture environnante.
La première synagogue réformée , qui a ouvert ses portes à Hambourg en 1811, a introduit des changements qui ont fait ressembler la synagogue à une église. Celles-ci comprenaient: l'installation d'un orgue pour accompagner les prières (même le Shabbat , lorsque les instruments de musique sont proscrits par la halakha ), une chorale pour accompagner le hazzan et des vêtements que le rabbin de la synagogue devait porter. [33]
Au cours des décennies suivantes, la table centrale du lecteur, la Bimah , a été déplacée vers l'avant du sanctuaire réformé - jusque-là inconnue dans les synagogues orthodoxes.
Étant donné que de nombreux juifs orthodoxes et certains juifs non orthodoxes préfèrent rassembler un minyan (un quorum de dix) plutôt que de prier seuls, ils se réunissent généralement à des heures préétablies dans des bureaux, des salons ou d'autres espaces lorsque ceux-ci sont plus pratiques que la synagogue formelle. bâtiments. Une pièce ou un bâtiment utilisé de cette manière peut devenir une petite synagogue ou une salle de prière dédiée. Parmi les juifs ashkénazes, ils sont traditionnellement appelés shtiebel ( שטיבל , pl. shtiebelekh ou shtiebels , yiddish pour "petite maison"), et se trouvent dans les communautés orthodoxes du monde entier.
Un autre type de groupe de prière communautaire, favorisé par certains Juifs contemporains, est la chavurah ( חבורה , pl. Chavurot , חבורות ), ou communauté de prière. Ces groupes se réunissent à un endroit et à une heure réguliers, soit dans une maison privée, soit dans une synagogue ou un autre espace institutionnel. Dans l' Antiquité , les pharisiens vivaient les uns à côté des autres en chavurot et dînaient ensemble pour s'assurer qu'aucun des aliments n'était impropre à la consommation.