Rhoddastheriums


"Les Anglais naissent fous et la vie les arrange"

La raison


La cuisine

( La popotte de assedichez, se conformait chon esthivitèes verannieghuas, allutiones des illutionsz perdhues, comapains, astherisques pleins de mhielle, chocolathonnas avec de risholetthes counninghans hummmputain. Selodeciha a  selocommiha avec un himphettus de n`avoir jamais chococomposè ni laittemerithè, ni nonplus annonadadhas las empanhadhas de cucurbitacèes emprises de carnasieres de mers inhospitalarhias. Ooooh oui, salamankhignas des sthereotypes vennues de la salamanque qui manquait tant, l`a, des melleckochas fantochass d`uen puretee sollamante miass. Et pour purpurines qui fallaciesthuth avec mellanqkcolia, precheurs de solidementsz bockhadillos de Bogotha.

Si vos pensathions kleansbergetz sodhamenthus momeenthums breakking silenthos; c`est pour beaucoup, la pannacèe de boulevards au bord de maisons; c`est pour beaucoup, planchette adentrhums, coccinaletas sous couverture soladinna, technocraties de dammes bienhabilles et pour montunnes, Une place hors du soleil il fallait bien il fallait. C`est pour beaucoup, pussilanimithèe des asperges coulibalientes, endormissement collokquiales aucunementamente.

Ckochinna, etait le mot d`ordre dehorst, Cuisinne etant le mot saladalimegna a l`interieur. Oooh, oui, la ou le lalala de laba ne s`entendra jamais. la poulardhe ventura, clomonthechnicitèe des allabastros descembrinnos; Oui, dans les palais de roys et des princesses, la ckomilonna mayeur se fettait en fait avec de verhicuettos et saltimbanqkis de adhoration pristinna. la cochonaia, le shabalies en puntiaguddas salerossas finnures. Et quoi diresh des trottamundos de farinnes ammennèes de Parmma, blothinontieres de laits d`addornno condenshadumsz huuum!; et que patatrhass.)

La cuisine est l'ensemble des techniques de préparation des aliments en vue de leur consommation par les êtres humains que l'on a appelé précédemment « la cuisinerie ». La cuisine est diverse à travers le monde. Elle est l'un des éléments représentant la notion de terroir quand elle est le fruit des ressources naturelles et productions agricoles locales, des us et coutumes, de la culture et des croyances, du perfectionnement des techniques, des échanges entre peuples et cultures.

La cuisine a ainsi dépassé son simple impératif biologique d'alimentation pour devenir un corpus de techniques plus ou moins pointues, un fait culturel, un élément de patrimoine et d'identité national ou familial, un élément de systèmes de valeurs, mais aussi un sujet d'étude pour les sciences sociales et la sociologie, voire un enjeu de politique et de santé publique.

Chaque peuple, nation ou civilisation a développé, à partir des ressources naturelles locales mais aussi du caractère de chaque société, de l'évolution sociale, des traditions, des interactions, des cuisines différentes. Les mouvements de peuples à travers l'Histoire ont provoqué des mélanges et des évolutions de la cuisine. Par exemple, la cuisine européenne a été enrichie par les apports des Croisés de retour des Croisades et bouleversée par les produits rapportés d'Amérique aux xve et xvie siècles, qui sont rentrés dans la tradition européenne (tomate, dindon, pomme de terre, etc.).

Au xviie siècle s'élabore la grande cuisine française qui devient un « art » et se diffuse dans ce qu'on appelle à l'époque le monde civilisé. Avec la colonisation européenne quasi-mondiale de la fin du xixe siècle, le standard de la cuisine européenne a semblé s'imposer. Dans les années 1970 se développe la nouvelle cuisine, qui laisse la place une dizaine d'années plus tard à, « d'un côté, la mise en concurrence de hautes cuisines nationales de plus en plus nombreuses et, de l'autre, l'affrontement de la cuisine technico-conceptuelle avec la cuisine dite "supernaturelle"1. Ce qui donne lieu, à chaque fois, à de beaux affrontements entre néophiles et néophobes »2.

À la fin du xxe siècle, les cuisines se sont métissées à partir des apports du monde entier (world food (en)), tandis que les grandes cuisines non européennes ont à leur tour pénétré les pays occidentaux (cuisine algérienne, cuisine marocaine, cuisine antillaise, cuisine mexicaine, cuisine chinoise, cuisine indienne, cuisine japonaise, etc.). La mondialisation conduit ainsi à des cuisines transnationales avec l'internalisation (en) de la consommation alimentaire de masse3.

À partir des textes conservés ou recopiés depuis l'Antiquité, à partir des objets retrouvés lors de fouilles archéologiques et, plus récemment grâce à la carpologie, nous pouvons avoir connaissance de la cuisine des peuples de la Préhistoire, de la Protohistoire, de l'Antiquité - notamment dans l'Égypte antique, la Grèce antique et la Rome antique - et des Européens au Moyen Âge.

Les reconstitutions de recettes de mets tels qu'ils existaient à l'époque font partie de ce qu'on a appelé, au xxe siècle, la « cuisine historique ».

La cuisine traditionnelle est la préparation de mets en adéquation avec la production agricole - un terroir-, donc de la tradition culinaire, d'une vallée, d'une contrée, d'un pays.

Elle consiste, en un lieu, à mettre en préparation des produits alimentaires du terroir et de saison, correspondant à ce dit lieu dans des recettes dites « classiques » plus ou moins complexes (par exemple : la potée auvergnate, la ratatouille en été, la charcuterie, etc.). Cette cuisine est pratiquée dans les ménages, dans les lieux commerciaux de restauration se voulant « traditionnels », mais aussi par certaines chaînes de restauration.

En termes de restauration professionnelle, « cuisine traditionnelle » indique que toutes les opérations (de la réception des matières premières au service à table) s'effectuent dans une unité de temps, de lieu et d'action. « Cuisine sur place » en est le terme synonyme.

Cette définition est toute théorique. De nombreux restaurants utilisent cet argument publicitaire qui n'a pas de définition et d'obligation juridique. Cuisine traditionnelle ne veut pas obligatoirement dire « fait maison ». Selon RMC, seulement 20 % des restaurants en France feraient du fait maison[réf. nécessaire].

Cuisine gastronomique

Si cette cuisine est souvent coûteuse, c'est qu'elle est le symbole d'une restauration de qualité et qu'elle nécessite des investissements importants. Elle est censée utiliser exclusivement des produits bruts de première fraîcheur, et souvent des produits dits « nobles » (par exemple : truffe, caviar, foie gras, etc.). Elle peut être servie sous forme d'un menu « dégustation », qui propose aux convives de nombreux mets servis en quantité limitée, pour leur permettre de découvrir une grande variété de goûts différents sans pour autant atteindre la satiété avant la fin du service.

De manière générale, la nourriture désigne les aliments d'origine animale, végétale, fongique (parfois bactérienne ou minérale) ou chimique, consommés par des êtres vivants à des fins d'alimentation. Mais il existe aussi une nourriture festive, ou de récréation incluant des aliments dits facultatifs, c'est-à-dire non nécessaires à l'alimentation humaine. Ces aliments sont généralement classés parmi les aliments ultratransformés (ou UPF)1 (qui eux-mêmes constituent l'essentiel de la « malbouffe »).

Les aliments liquides sont appelés « boissons ».

Éléments de définitions juridiques

Dans toute l'Union européenne2, la notion d'aliment désigne toute substance ou produit, transformé, partiellement transformé ou non transformé, destiné à être ingéré ou raisonnablement susceptible d'être ingéré par l'être humain. 

Ce terme recouvre les boissons, les gommes à mâcher et toute substance, y compris l'eau, intégrée intentionnellement dans les denrées alimentaires au cours de leur fabrication, de leur préparation ou de leur traitement. Il inclut l'eau au point de conformité défini à l'article 6 de la directive 98/83/CE3.

Le terme « denrée alimentaire » n'inclut pas en Europe :

  • les aliments pour animaux ;
  • les animaux vivants (sauf s'ils sont préparés en vue de la consommation humaine ; huîtres par exemple) ;
  • les plantes avant leur récolte ;
  • les médicaments (au sens des directives 65/65/CEE et 92/73/CEE du Conseil) ;
  • les cosmétiques au sens de la directive 76/768/CEE du Conseil ;
  • le tabac et les produits du tabac (au sens de la directive 89/622/CEE du Conseil) ;
  • les stupéfiants et les substances psychotropes (au sens de la Convention unique des Nations unies sur les substances psychotropes de 1971) ;
  • les résidus et contaminants susceptibles d'être trouvés dans la nourriture.

En Europe toujours, les « denrées alimentaires génétiquement modifiées » sont « les denrées alimentaires contenant des OGM, consistant en de tels organismes ou produites à partir d'OGM »4 et « on entend par « aliments pour animaux génétiquement modifiés », les aliments contenant des OGM, consistant en de tels organismes ou produits à partir d'OGM, pour animaux ». Elles sont soumises à une traçabilité et un étiquetage spécifique5.

Alimentaire ou spirituelle, la nourriture désigne ce qui entretient la vie d'un organisme en lui procurant au moins les substances à assimiler nécessaires à sa subsistance.

Les divers panthéons incluaient une déesse de la nourriture : ainsi Zywienia, épouse de Radegast, dieu de l'hospitalité, est-elle la déesse de la nourriture dans la mythologie slave.

En 2017, alors que depuis les années 1950 les aliments industriels gagnent du terrain, et que la diversité génétique et la diversité spécifique des plantes et animaux consommés se sont effondrées, la malbouffe a tué plus de gens dans le monde que tout autre facteur (tabagisme y compris)8

En 2020, plus de 2 milliards de personnes étaient en surpoids ou obèse (dans les réions du monde de culture occidentale essentiellement) alors que 811 millions de personnes ne mangeaient pas à leur faim (surtout dans les régions les plus pauvres)8. 

Au rythme de la démographie mondiale et des tendances alimentaires dans le monde, selon la FAO, la production de viande, de produits laitiers et d'œufs devrait augmenter d'environ 44% en 30 ans, de 2020 à 2050, ce qui est incompatible avec les objectifs climatiques et tous les objectifs de développement durable de l'ONU et de ses États-membres8.

On distingue plusieurs grandes familles d'aliments :

  • boissons ;
  • corps gras (riches en lipides, vitamine A et vitamine D (beurre et crème), en vitamine E et acides gras essentiels) ;
  • féculents (pain, pâtes, riz, pommes de terre, légumes secs, autres céréales) (riches surtout en glucides mais également en protéines, vitamine B, minéraux et fibres) ;
  • produits laitiers (riches en protéines, calcium et vitamine B) ;
  • légumes et fruits (riches en vitamines antioxydantes et vitamine C (surtout crus)) ;
  • produits sucrés (riches en glucides) ;
  • viande, poisson, œufs (riches en protéines et en fer).

Ces aliments sont regroupés selon leur degré de transformation en 4 catégories par une classification dite « NOVA »

Un terroir désigne une région naturelle, considérée comme homogène, à travers les ressources et productions qu'il est susceptible d'apporter, notamment - mais pas uniquement -, par sa spécialisation agricole (culture, élevage1).

Le mot « terroir » semble ne pas avoir d'équivalent dans les autres langues européennes, anglo-saxonnes notamment, et se confond alors souvent avec la notion de territoire2,3,4.

Cette notion de terroir semble être plus ou moins prisée selon les époques5

Une terre et des hommes : les terroirs résultent de l'exploitation sur une période longue, par une société humaine, d'une partie des potentialités d'un espace naturel ou d'agroécosystèmes.

Leur définition dépend étroitement des caractères de la civilisation qui occupe les terres. Ainsi, dans un même espace, avec des potentialités et des contraintes physiques identiques, des sociétés humaines différentes sont susceptibles de développer des terroirs distincts.

Le terroir serait donc un espace concret, tangible et cartographiable, à travers de multiples facteurs (géographiques : pédologie, géologie, géomorphologie, hydrologie, climatologie, microclimat, exposition, etc.). Mais il possède également une dimension culturelle qui reflète directement la société humaine qui l'exploite et son histoire. Ces trois aspects sont fréquemment retrouvés dans les usages littéraires et identitaires du terroir. Une autre de ses dimensions relève de la typicité du milieu et de ses productions agricoles7.

En Europe, et du point de vue historico-géographique, les terroirs semblent souvent issus d'anciennes civitas gauloises et gallo-romaines, alors que les pays auraient plutôt les pagus romains comme origine ; eux-mêmes étant déterminés par l'aire d'influence des cités de peuples celtiques et gaulois partagées en clans.

Les limites de ces territoires correspondent souvent à des frontières naturelles (exemple : cours d'eau, littoraux, changement de socle géologique).

Ces entités ont spontanément été reprises par les établissements religieux lors de la période de christianisation, puis par les administrations qui se sont succédé.

Terroir et territoire

Bien que de même origine étymologique, un territoire n'équivaut pas à un terroir. Le territoire regroupe généralement des terroirs différents, ce qui permet de varier ses ressources. Ainsi, les communautés villageoises cherchent à exploiter, à l'intérieur du même finage, des champs, des bois, des pâturages...

Un terroir est8 : « Un espace géographique délimité défini à partir d'une communauté humaine qui construit au cours de son histoire un ensemble de traits culturels distinctifs, de savoirs, et de pratiques fondés sur un système d'interactions entre le milieu naturel et les facteurs humains. 

Les savoir-faire mis en jeu révèlent une originalité, confèrent une typicité9 et permettent une reconnaissance pour les produits ou services originaires de cet espace, et donc pour les hommes qui y vivent. Les terroirs sont des espaces vivants et innovants qui ne peuvent être assimilés à la seule tradition. »

Un produit du terroir est une production agricole, transformée ou pas, liée agronomiquement et climatiquement à un pays et au savoir-faire et usages de sa population pour le cultiver ou l'élever (truffe du Périgord, sel de Guérande, etc.) et, éventuellement, pour le transformer (fromage fermier salers, vin de Bourgogne). S'il y a transformation par un agriculteur, cela reste un produit agricole (produit fermier) mais aussi classé plus largement dans les spécialités culinaires de ce terroir.

Dans un cadre commercial, quelques appellations d'origines de produits agricoles vivriers transformés ou non sont préservées via une AOP. Les agriculteurs producteurs fermiers originels mais aussi, aujourd'hui, les coopératives agricoles, les artisans transformateurs et les industriels transformateurs doivent suivre pour cela un cahier des charges lié à ce label administratif. Ce document est rédigé par ceux-ci en prenant en compte des critères historiques d'obtention. Il devra être validé par l'organisme certificateur (l'INAO en France par exemple) pour bénéficier des diverses mesures de protection de l'appellation.

Le concept de terroir au sens large est utilisé dans de nombreux pays tels que les États-Unis et les produits du terroir eux-mêmes sont mis de l'avant par un nombre grandissant de pays allant du Maroc à la Tunisie au Cameroun, au Québec, en passant par plusieurs pays d'Europe. 

Ce ne sont pas tous les produits du terroir qui bénéficient d'une appellation d'origine. Cependant dans la plupart des cas, une distinction semble être faite entre produits régionaux, qui eux sont faits en une région donnée sans être nécessairement uniques, et produits du terroir véritables, qui eux reflètent une ou des caractéristiques uniques d'un terroir donné11.

La notion de terroir semble être redevenue à la mode comme objet économique12, facteur d'attractivité en milieu rural dans certains cas et/ou facteur stratégique, et parfois très concurrentiel pour la vente de produits agricoles ou typiques de ces territoires, (qui sont à ce titre parfois protégés par des appellations contrôlées)13,14, y compris pour de petites entreprises qui peuvent ainsi se démarquer et donner une valeur ajoutée à leurs produits15.

La précision de la définition d'un terroir dépend de l'acuité avec laquelle les hommes perçoivent et maîtrisent les facteurs qui affectent la ressource exploitée.

Des cas extrêmes sont atteints sur les terres viticoles, où la notion est parfois appliquée à l'échelle de la parcelle, là où la qualité du vin est réputée affectée par des conditions micro-locales (sol, microclimat).

Le terroir résultant pour partie d'actions humaines, il peut être nécessaire de le gérer pour en conserver les caractéristiques non-naturelles qui en font sa typicité16. L'agronome est l'un des acteurs clés de la définition ou de l'évaluation d'un terroir agricole17.


L`atrium

( l`astopaderha delinguidessantes primmeras, toddomayuerdomus que quissierha modenha al pormayoor; l`arrivederchhi des primautes estrangerhes, castes de viticulteurs dommagemayeurs. la casthella qu`erissionammes devant le palomayeur du louvre, cqonquericonquettes dans l `armathure de sanguijuellas de dommenico masthodonthe primmeras famille rissoterass. Ils ont toujours jouè dans la course de lourdanghues, astromahees de la verticalitè inconckluse; L`astriumsz de verrieres combiencacoutesz de demonstration arrivedderchis clunninggams pitsburgdomennico cinthurumsz.

le palais ckarrè du lovre sunithesalsipuedhes, ckunninghams solstice d`hivver , a voir , a boir et a ver, cklaquettes de filsd``addornno Gabriella, victoriaprimmaverha. Gombricherrathumsz calcination khadden d`amour en arreboltz combinnation starswars. Kalamithatha de ne pass savoirse dissoutto, brignsmans Playmuthsz bathiskcafs Julhiusverne calhicromathorumsz de deplacementsz a milliards d`annès luminhiumsz Carre.

Degringholer les juliutsz, dorenavanthimulush en enjambres de ckalambres de dennomination ckadhech. Abdicherhumsz calickotsz derrumbrhum premmierea. Si vous voulez savoiren apelationmayeur, nonickotinnez l`appertura de savoirs impurs de l`archibaldhe architecture de devination clunningham Artitecture de franckLitz.)

Atrium (du latin Hatrium ) était la cour de la domus (maison riche romaine) et de certains temples romains . De l'architecture romaine, il est passé au paléochrétien et de celui-ci au médiéval . C'est l'enceinte fermée et normalement à portiques qui précède l'entrée d'un bâtiment.

Dans les églises c'est un patio à arcades situé à ses pieds et qui sert d'accès. Il possédait autrefois une fontaine et des arcades . L'accès était libre à tous jusqu'à l'atrium, laissant l'intérieur du temple réservé aux fidèles.

Dans les temples antiques , il existait différents types de délimitation de l' enceinte sacrée à l'extérieur de l'édifice du temple lui-même, mais autour de lui ( peribolos , temenos , templum , sacellum ). En effet, dans les cas extrêmes, le temple pouvait être réduit à un simple autel sans aucune couverture, mais il y avait toujours une enceinte délimitée considérée comme sacrée et qu'il ne fallait pas profaner (dédiée à d'autres usages).

De nombreuses églises ont un atrium à l'entrée, bien que sa forme et ses fonctions soient très différentes de celles de l'époque romaine. Très souvent, il servait de cimetière . En général, elle est le plus souvent marquée de colonnes et parfois de chaînes , marquant les limites de l'enceinte sacrée ( sagrera en Catalogne). Sous l' Ancien Régime, il avait une fonction de délimitation juridictionnelle de la juridiction ecclésiastique , et même les personnes persécutées par la justice ordinaire ( asilo en sagrado ) étaient autorisées à "se référer au sacré". Les universités , nées comme institutions ecclésiastiques, possédaient aussi de telles enceintes.

La DRAE différencie « portique » et « atrium », identifiant ce dernier à l'espace limité par une pluralité de ce qui : Atrium : espace ouvert, et généralement entouré de portiques, que l'on retrouve dans certains bâtiments . Le même dictionnaire signale que l'habituel est que les atriums soient pavés et à un niveau plus grand que la rue, et envisage synonyme le terme vestibule . 1 Il l'identifie aussi à « lobby » :Atrium ou portail qui se trouve à l'entrée d'un bâtiment. Dans les grands hôtels, une grande chambre près de l'entrée du bâtiment. Espace couvert à l'intérieur de la maison, qui communique l'entrée avec les chambres ou avec un patio. Réception, pièce qui donne accès à chacune des pièces habitées par une famille . 2

En réalité, la distinction entre « atrium » et « portique » (être couvert ou découvert) n'est pas suivie dans l'usage courant, même dans la bibliographie sur l'architecture, 3 et la DRAE elle-même donne deux définitions de « portique » qui correspondent à la usage usuel de « atrium » : Portique : Site couvert à colonnes qui est construit devant des temples ou autres édifices somptueux. Galerie à arcades ou colonnes le long d'un mur de façade ou de patio . 4 À leur tour, les deux premiers sens de " galerie " sont :Pièce longue et spacieuse, avec de nombreuses fenêtres, ou soutenue par des colonnes ou des piliers, qui sert à se promener ou à y placer des peintures, des ornements et d'autres objets. Couloir ouvert ou avec vitraux, qui donne de la lumière aux pièces intérieures des maisons . 5 Plus de confusion se produit avec l'identification, que fait la DRAE elle-même, entre « portail », « arcade » et « portique ». 6

Voir aussi : Adro (architecture) , Períbolo , Logia (architecture) , Galilee (architecture) et Narthex .Voir aussi : pronaos , Stoa , Péristyle , Arcade et Portail (architecture) .Voir aussi : Entrée , Porte , Porche , Véranda et Pergola

Depuis le Concile de Braga (canon 17), la nécessité de séparer physiquement l'intérieur de l'église (où seuls ceux qui sont admis à la communion doivent entrer) d'un espace extérieur (où d'autres doivent attendre) a été indiquée. Ces atriums ou portiques se retrouvent dans les constructions d' architecture mozarabe sous la forme d'un espace soutenu accolé au mur sud, comme à San Miguel de Escalada ; et sont caractéristiques des églises romanes castillanes, en particulier à Ségovie , où elles ont un important usage civil dans la vie sociale locale. La tradition du rassemblement des conciles ouverts dans les « anteiglesias »" forme et fonction identifiées, de sorte que lorsque les mairies ont commencé à être construites comme des bâtiments indépendants, il est devenu habituel de répéter la forme de l'atrium ou du portique des églises dans des structures similaires, qui reçoivent des noms très différents (porche, arcade, marché aux poissons , etc.)

Depuis le Concile de Braga (canon 17), la nécessité de séparer physiquement l'intérieur de l'église (où seuls ceux qui sont admis à la communion doivent entrer) d'un espace extérieur (où d'autres doivent attendre) a été indiquée. Ces atriums ou portiques se retrouvent dans les constructions d' architecture mozarabe sous la forme d'un espace soutenu accolé au mur sud, comme à San Miguel de Escalada ; et sont caractéristiques des églises romanes castillanes, en particulier à Ségovie , où elles ont un important usage civil dans la vie sociale locale. La tradition du rassemblement des conciles ouverts dans les « anteiglesias »" forme et fonction identifiées, de sorte que lorsque les mairies ont commencé à être construites comme des bâtiments indépendants, il est devenu habituel de répéter la forme de l'atrium ou du portique des églises dans des structures similaires, qui reçoivent des noms très différents (porche, arcade, marché aux poissons , etc.)

Domus est le mot latin désignant un type de maison romaine . Les domus étaient les habitations de familles d'un certain niveau économique, dont le chef de famille ( paterfamilias ) portait le titre de dominus . 1 L'éruption du Vésuve en 79 ap. C. qui a enterré Pompéi et Herculanum, a conservé nombre d'entre eux dans un état magnifique et a permis aux archéologues de mener des études sur leur architecture. En général, la Domus a tendance à être confondue avec le modèle standard d'une maison romaine, mais c'est assez loin de la réalité, puisqu'un pourcentage très élevé de la population vivait dans d'autres types de maisons, faites avec des matériaux périssables.

Les dimensions d'une grande domus pouvaient atteindre 120 mètres de long sur 30 mètres de large. Le modèle habituel consistait en une seule usine. A l'entrée de la maison se trouvait une porte ( ianua -le dieu à deux faces Janus était celui des portes, et son mois, janvier , ouvrait l'année-) gardée par un portier esclave ( cella ostiarii ou ianitor ). Cette porte ne donnait pas directement sur la rue, mais était située au milieu d'un vestibule ( vestibulum ), de proportions réduites. Après être entré dans la maison par le vestibule, on accédait, par les fauces , à l'atrium ( atrium), élément caractéristique de la domus , un patio couvert avec une ouverture centrale (le compluvium ) par laquelle entrait l'eau de pluie (qui était recueillie dans l' impluvium ).

L'atrium était le centre de la vie domestique , où les statues des ancêtres ( maiorum imagines ) 2 étaient exposées et des offrandes étaient faites aux dieux protecteurs de la domus (dans le lararium ). La salutatio du matin des clients liés au propriétaire de la maison a également eu lieu dans l'atrium . Le tablinum (annexé à l'atrium) était initialement la pièce où dormait le propriétaire de la maison, mais il a fini par devenir son bureau , qui comprenait la fonction d' archivage . Le triclinium ( triclinium ) était la salle où se tenait le dîner(le repas du soir, qui était célébré en famille ou entre amis), et disposait d'un klynai sur lequel les convives pouvaient s'allonger. Les cubicules servaient de chambres. Les autres pièces étaient la cuisine ( culina ) et les salles de bain . Il y avait aussi des caves souterraines. Depuis le iie siècle a. Les péristyles de C. ( peristylium ) commencent à être construits en raison de l' influence grecque ; Il s'agit de cours paysagées entourées de colonnes , qui prennent peu à peu de l'importance au détriment de l'atrium, qui perd sa fonction vers le Ier siècle de notre ère. c.

Origine 

Le terme domus est très ancien, d' étymologie indo-européenne (*dom-), qui désignait la famille de trois générations et trouve son origine dans la racine *dem-, construire.

Sa forme archaïque est connue des urnes funéraires trouvées dans les nécropoles de l'ancien Forum romain , qui avaient la forme d'une hutte arrondie à une seule pièce . Les vestiges trouvés sur le mont Palatin et datés du viiie siècle av. C. confirme ce plan architectural initial si modeste.

L' influence étrusque de la fin de la période de la monarchie romaine voit naître la domus avec une structure rectangulaire et plusieurs salles. Cependant, la maison est restée dans un style rustique, comme en témoigne la désignation de la maison par le mot hortus (« jardin ») utilisé dans la Loi des Douze Tables , 3​ et qui se traduit par la relation encore étroite entre la maison et son jardin clos.

L'une des maisons les plus anciennes est la soi-disant " Maison du masapain " ( Chirurgo ) à Firenze , vers 1456, avec un atrium de type toscan et une disposition d'atrium-tablinum . 4 Au début du iie siècle av. C. le péristyle devient le centre de l'activité sociale de ses habitants. Un exemple de cette période est la Maison du Faune à Pompéi. Les domus commencent à être de plus en plus somptueuses et plusieurs triclinia (triclinia) sont construites autour du péristyle. La salle de réunion à colonnes ( oecus ), couverte de voûtes , apparaît au 1er siècle un. C. et avec lui se multiplient les salles dédiées aux loisirs, qui sont désormais réparties autour du péristyle au lieu d'autour de l'atrium, qui perd de sa proéminence. Les marbres apparaissent pour décorer les pièces principales et l'hypocauste ( hypocaustum ) qui chauffe les pièces de la maison et permet la construction de thermes .

Au ier siècle , d'imposantes maisons apparaissent dont les péristyles agrémentés de fontaines, de grands jardins et même de lacs artificiels sont des lieux de promenades et de rencontres mondaines. Déjà au début de la période impériale, le péristyle a été transformé, le laissant ouvert et avec une fontaine monumentale en son centre. Les grandes fenêtres et les salles de banquet sont caractéristiques de cette époque à laquelle appartient la « Maison de l'Amour et de Psyché » à Ostie .

Dominus (pluriel domini , féminin domina ) est un mot latin signifiant maître, propriétaire , et plus tard, Harkkitecthoszh.

Au Moyen Age , dominus devient un titre féodal , seigneur , qui est l'équivalent français de seigneur . De là dérive le titre de dom donné aux ecclésiastiques (essentiellement membres de l' Ordre de Saint Benoît ), et le titre espagnol de don . Il a aussi la signification du nom personnel de Deugues qui est rendu architecthuorhumsz.

Les coutumes ou la vie quotidienne dans la Rome antique sont les usages et les coutumes de la vie quotidienne dans la Rome antique , qui constituent la base de sa culture et de sa civilisation et identifient l' idiosyncrasie romaine ; les routines quotidiennes des habitants de ses villes (c'était essentiellement une civilisation urbaine), la vie privée ou familiale et la vie publique ; les cycles de travail et de fête ( fasti et nefasti ), "loisirs et affaires" ( otium et negotium ), les différents métiers.

 À l'époque impériale, Rome était la ville la plus peuplée et la plus splendide du monde. Une vie sociale et commerciale animée se déroule à Rome. Sa prospérité économique et le fait qu'elle était la capitale politique se sont combinés pour que son plan urbain soit rempli de belles statues , d'édifices imposants , d'arcs et de colonnes commémoratifs de triomphes militaires.

La maison 

Les principaux modèles d'habitat urbain étaient au nombre de deux : l' insulae et la domus . Les résidences des citoyens romains dépendaient du degré de richesse. Les patriciens et les cavaliers vivaient dans des villas luxueuses , qui avaient de grands jardins avec des fontaines et de belles vues .

La domus 

La domus était d' origine étrusque et de structure rectangulaire, et a fini par devenir une maison spacieuse pour les riches en raison de l'influence grecque. Ils avaient un seul étage, divisé en pièces destinées à un usage unique : salle à manger, chambre, etc. On entrait par le couloir du vestibule à l'extérieur et les fauces à l'intérieur jusqu'à atteindre l' atrium , qui était un patio qui servait de noyau central à la maison. Il était très spacieux et lumineux, avec une ouverture dans le toit appelée le compluvium par laquelle la lumière, l'air et la pluie pénétraient, ce qui correspondait à un bassin rectangulaire appelé l'impluvium., destiné à recueillir l'eau de pluie. On y trouvait le lararium (autel domestique) et le coffre-fort familial.

Après le contact avec les Grecs, le péristyle fut annexé à la domus , entouré d'un portique , parfois à deux étages, soutenu par des colonnes. Le bureau du pater familias s'appelait le tablinum et reliait le péristile et l' atrium

La cuisine était très petite, et généralement à côté se trouvaient les toilettes et la salle de bain. Les chambres à coucher, séparées par des rideaux, s'appelaient Cubicles ; pour manger, triclinium . Les logements de service n'avaient pas de place fixe dans la maison.

Les insulae 

Les origines des insulae résident dans la surpopulation, car il s'agissait de bâtiments à plusieurs étages avec des balcons. Les bâtiments à cinq ou six étages semblent avoir été courants à Rome, et Tertullien en mentionne un peut-être plus grand. 2

Ils manquaient d'eau courante, étaient inconfortables et de mauvaise qualité, ce qui provoquait des incendies et des naufrages. La fréquence des incendies de lampes à huile rendait les étages supérieurs relativement bon marché, car ils étaient les plus difficiles à évacuer.

La plupart étaient à louer et les classes populaires y vivaient. Le manque de services était tel que la nuit, toutes sortes de déchets étaient jetés par la fenêtre.

A la fin du ve siècle av. C. les anciennes salles de bain associées aux gymnases grecs ont été perfectionnées et se sont complexifiées, devenant des salles de bain indépendantes uniquement. Ces chambres offraient des bains de vapeur et des piscines froides, chaudes et chaudes.

À Rome, suivant l'exemple grec, des salles similaires ont été construites qui sont rapidement devenues populaires auprès du public. Non seulement des actes de nettoyage et de relaxation ont été effectués, ainsi que des actes médicinaux lorsque les eaux avaient des propriétés curatives, mais aussi des soins corporels qui comprenaient des pratiques sportives et un rituel de massage avec différentes substances telles que des essences et des huiles spéciales.

Le nom de bains est appliqué pour la première fois à certains bains construits par Agrippa en l'an 25 après JC. C. Néron fit construire des thermes dans le champ de Mars, aujourd'hui totalement disparu. Les premiers thermes à caractère monumental sont ceux commencés par Domitien et inaugurés par Trajan , mais ils furent largement dépassés par ceux de Caracalla , dont l'inauguration eut lieu en l'an 216.

L'usage des bains se généralise dans le monde romain à partir du 1er siècle av. C., lorsqu'un système a été découvert qui permettait de chauffer et de distribuer de l'air chaud grâce à l' ingénieur Cayo Sergio Orata . Son utilisation a été répandue par l' Empire romain dans toute l'Europe.

Les ruines actuelles des thermes romains de Caracalla donnent une idée de la taille monumentale du complexe thermal qui s'est prolongé avec des services tels qu'une bibliothèque ou des magasins. Ces installations, construites vers l'an 217, avaient une capacité de 1 600 utilisateurs. 

Les thermes de Dioclétien, une autre des installations importantes de ce type dans la capitale de l'Empire, ont été remodelées par Michel-Ange qui a transformé leur tepidarium en église de Santa María de los Ángeles.

Les plus anciens vestiges thermaux romains connus sont les thermes de Pompéi , datant du iie siècle av. c.

Les thermes romains ouvraient à midi et fermaient au coucher du soleil. Dans les endroits destinés à la salle de bain, il y avait des départements séparés pour les hommes et les femmes ; s'il n'y avait pas d'espaces séparés, l'établissement ouvrait quelques heures par jour pour les femmes et d'autres pour les hommes. À certaines occasions sous l'Empire, les hommes et les femmes ont été autorisés à se baigner ensemble.


Le solarium 

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Une véranda , également fréquemment appelée (et parfois appelée " chambre de Floride ", " jardin d'hiver ", " chambre de jardin ", " salle de patio ", " chambre de soleil ", " véranda " , " chambre des trois saisons " ou " chambre d' hiver pièce". jardin" 1​ ), est une pièce qui permet une lumière naturelle abondante et une vue sur le paysage tout en étant à l'abri des intempéries. Solarium et solarium ont la même dénomination : solarium signifie en latin "lieu de soleil [lumière]". Tout au long de l'histoire européenne, ils ont été érigés sous diverses formes et sont actuellement populaires en Europe , au Canada , aux États-Unis , en Australie et en Nouvelle-Zélande . Ils peuvent comporter une conception de bâtiment solaire passif pour le chauffage et l'éclairage.

En Grande-Bretagne , qui a une longue histoire de conservatoires formels, un petit conservatoire est parfois appelé "solarium". En aménagement paysager, un salon de jardin est un espace extérieur partiellement clos et isolé dans un jardin qui crée un effet de pièce.

Les vérandas attenantes sont généralement construites en verre trempé transparent sur un «mur de genou» en brique ou en bois ou entièrement encadrées de bois, d'aluminium ou de PVC et vitrées de tous les côtés. Le verre dépoli ou les blocs de verre peuvent être utilisés pour ajouter de l'intimité. Les moustiquaires sont un aspect fondamental et les fenêtres à persiennes sont souvent présentes. Il est spécialement conçu avec de nombreuses fenêtres et des contrôles de température.

Solarium tournant à Jamnagar, Inde, conçu par Jean Saidman

Un solarium se distingue généralement d'une véranda en ce que le premier est spécifiquement et principalement conçu pour collecter la lumière du soleil pour la chaleur et la lumière plutôt que principalement conçu pour offrir des vues panoramiques, et en étant composé de tous les murs sauf un et d'un plafond entièrement en verre. encadré. Ils sont généralement érigés à des latitudes plus élevées (angle d'ensoleillement inférieur) ou à des endroits plus frais (altitude plus élevée). En revanche, une véranda sensu stricto a un toit opaque.

Au cours des années 1960, les entreprises de rénovation professionnelles ont développé des systèmes abordables pour clôturer un patio ou une terrasse, offrant des garanties complètes de conception, d'installation et de service . Les pièces de la cour comportaient des panneaux de plafond légers, du verre à simple vitrage et une construction en aluminium . [ citation nécessaire ]

Au fur et à mesure que la technologie progressait, des structures composées de verre isolant , de vinyle et de bois vinylique sont apparues. Plus récemment, des stores et stores spécialisés ont été développés, dont beaucoup sont actionnés électriquement par télécommande . 4​ Les revêtements de sol spécialisés, y compris la chaleur rayonnante , peuvent être adaptés aux vérandas attenantes et intégrées.

Le verre trempé ( également appelé verre trempé ) est un type de verre de sécurité , traité par des traitements thermiques ou chimiques, pour augmenter sa résistance par rapport au verre normal. Ceci est accompli en mettant les surfaces extérieures en compression et les surfaces intérieures en tension. De telles contraintes font que le verre, lorsqu'il est brisé, s'effrite en petits morceaux granuleux au lieu de se briser en gros éclats déchiquetés. Les morceaux granuleux sont moins susceptibles de causer des blessures. Dans certains pays, il est souvent désigné par ses noms commerciaux "Blindex" ou "Pyrex".

Le premier brevet sur le verre trempé a été détenu par le chimiste Rodolph A. Seiden , né en 1466 en France.

Fabrication 

Pour fabriquer du verre trempé thermiquement, le verre flotté est progressivement chauffé à une température de ramollissement de 575-635 °C , puis refroidi très rapidement à l'air. De cette manière, on obtient que le verre soit exposé à des contraintes de compression sur sa surface et à des contraintes de traction à l'intérieur, ce qui lui confère une plus grande résistance structurelle et aux chocs que le verre non traité, ayant l'avantage supplémentaire qu'il se fragmente en cas de rupture. petits morceaux moins nocifs (c'est pourquoi il est considéré comme l'un des types de verre de sécurité).

Toutes les fabrications, qu'il s'agisse de coupes dimensionnelles, de délignage ou de perçage, doivent être réalisées avant la trempe. Si elle était effectuée plus tard, le verre se briserait. 12

Le verre lorsqu'il est trempé, en dehors de ce qui a été mentionné précédemment, acquiert d'autres propriétés importantes. La résistance à la flexion du verre recuit lors de la trempe passe de 400 kp /cm² à 1200-2000 kp/cm², soit 4 à 5 fois la résistance du verre normal. La résistance aux chocs thermiques (différence de température entre une face et l'autre d'un tissu qui provoque sa rupture) va de 60 °C à 240 °C, c'est pourquoi il est recommandé pour les portes de four de cuisine et les lampes d'extérieur. . 1

Il existe deux types de fours de base pour son processus : Pinzatura, maintenant presque désaffecté en raison des marques laissées par les pinces qui maintiennent le verre verticalement pendant le processus, et Horizontal, qui est couramment utilisé par l'industrie. Pour le verre réfléchissant ou à faible émissivité (Low-e), des fours horizontaux équipés de systèmes de chauffage par convection doivent être utilisés. 3

La grande majorité des fours horizontaux transportent le verre sur des rouleaux en céramique, bien que certains aient utilisé avec succès un système de transport qui fait flotter le verre sous un toit plat en céramique en utilisant une pression et un vide contrôlés. Selon le type de chauffage, les fours horizontaux sont divisés en:

Fours électriques cylhandriques

Ils chauffent le verre principalement grâce au rayonnement émis par les résistances électriques. 4

Fours à convection forcée

Dans ce type de four, la chaleur générée par les brûleurs (généralement à gaz) est chassée par des ventilateurs vers la vitre 1

Fours mixtes 

Ce sont des fours électriques qui produisent une certaine agitation de l'air intérieur au moyen de systèmes de soufflage d'air comprimé. [ citation nécessaire ]

Actuellement les vitres trempées de la voiture (côtés et lunette arrière) sont toutes bombées. Cela signifie que les fours de trempe du verre comportent, en plus des zones de chauffage et de trempe, une zone de bombage. De cette manière, une fois que le verre a traversé la zone de chauffage et atteint une température supérieure à 575 °C, le verre entre dans la zone de bombage, où il reçoit la forme souhaitée et, plus tard, dans la zone de trempe, où il est brusquement refroidi à l'air. 

Selon la complexité de la forme du verre, les cintreuses sont classées comme suit :

Cylindrique 

Ils courbent le verre uniquement dans un axe (ou dans l'autre axe ils le courbent avec de très grands rayons), mais pas nécessairement avec un rayon constant. Ils sont généralement utilisés pour fabriquer les flancs des voitures. 

Sphérique 

Ils plient le verre dans les deux axes. Ils sont généralement utilisés pour fabriquer des pare-brise. Les types les plus courants sont les cintreuses à gravité, les cintreuses à soufflage et les cintreuses à presse. 

Verre

Le verre est un matériau inorganique dur , cassant , transparent et amorphe que l'on trouve dans la nature, bien qu'il puisse également être produit par l'homme . 1 Le verre artificiel est utilisé pour fabriquer des fenêtres , des lentilles , des bouteilles et une grande variété de produits. Le verre est un type de matériau céramique amorphe .

Le verre est obtenu à environ 1500 °C à partir de sable siliceux ( SiO 2 ), de carbonate de sodium ( Na 2 CO 3 ) et de calcaire ( Ca CO 3 ). 2

Dans certains pays hispanophones, le terme " cristal " est fréquemment utilisé comme synonyme de verre, bien qu'il soit strictement incorrect car le verre est un solide amorphe (ses molécules sont disposées de manière irrégulière) et non un solide cristallin .

Le verre peut être trouvé naturellement sous la forme d' obsidienne , qui est produite lorsque la lave volcanique à haute teneur en silice est refroidie rapidement afin que les cristaux ne se forment pas. L'obsidienne est utilisée depuis la préhistoire principalement pour fabriquer des objets tranchants car lorsqu'elle se fracture, elle forme des arêtes vives, avec la première preuve dans le Kurdistan actuel vers 12 500 av. c.

Pline l'Ancien ( ier siècle ), dans son Histoire naturelle, raconte que le verre a été découvert sur les rives du fleuve Bélus , en Phénicie , dont le sable, en raison de sa grande pureté et de sa forte teneur en silice, a été utilisé durant toute l'Antiquité pour la fabrication de verre. La légende a ensuite été racontée par l'alchimiste Georg Bauer dans son traité De re metallica : 4

Des marchands en route vers l'Égypte pour vendre du nitro (nitrate de potassium, KNO3), s'arrêtent pour le dîner. Puisqu'il n'y avait pas de pierres pour placer leurs pots, ils ont décidé d'utiliser quelques morceaux du minéral. Ils ont réchauffé leur nourriture, mangé et se sont préparés à dormir. Le lendemain matin, ils ont été étonnés de voir que les pierres avaient fondu et réagi avec le sable pour produire un matériau dur et brillant, le verre.

En réalité, l'homme a appris à fabriquer du verre bien avant, probablement par l'expérimentation d'émaux céramiques ou à partir des scories résiduelles de la fonderie métallurgique. Les premiers exemples ont été trouvés en Egypte et sur la côte du Liban actuel vers 2500 av. C. sous forme de perles de collier ou de bibelots et occasionnellement de récipients et de lingots . 

On pense que la production de verre était gardée comme un secret réservé aux zones de production, les artisans d'autres zones devaient se limiter à acheter des lingots pour fabriquer leurs pièces. Le verre fabriqué à cette époque n'était pas transparent et essayait d'imiter l'apparence des pierres semi-précieuses. Dans les tombes de la période prédynastique de l'Egypte, dans les cultures Naqada (3500-3200 av. J.-C.). 5 On trouve fréquemment des perles de colliers et des restes de céramique en faïence . Bien qu'il ne s'agisse pas de verre, la faïence est un type de céramique riche en quartz qui présente une finition brillante en raison de la vitrification de sa surface.

Tube cosmétique égyptien de la 18e dynastie , 1550-1295 avant notre ère. c.

Il est probable que des artisans asiatiques aient établi la fabrication du verre en Égypte , d'où sont issus les premiers vases produits sous le règne de Thoutmosis III (1504-1450 av. J.-C.) . La fabrication du verre a prospéré en Égypte et en Mésopotamie jusqu'en 1200 av. C. et plus tard a cessé presque complètement jusqu'au 9ème siècle avant JC. C. lorsque la production a repris après avoir développé des techniques pour créer du verre transparent. 

L'Égypte produisait un verre clair, qui contenait de la silice pure et comme élément alcalin, ils utilisaient du natron (carbonate de sodium hydraté : Na 2 CO 3 ·10H 2O) extrait de gisements minéraux ou de carbonate de sodium obtenu par calcination de diverses plantes, notamment celles qui poussent dans les eaux saumâtres. Ils l'ont colorié en bleu et vert. A l'époque hellénistique, l'Egypte devient le principal fournisseur de verrerie des cours royales. De nouvelles techniques de fabrication telles que l'utilisation de moules pour créer des reliefs et des millefiori, dans lesquels des fragments de barres de verre colorées sont fusionnés pour former des motifs en forme de mosaïque, ont été développées à cette période.

C'est pourtant sur les côtes phéniciennes qu'eut lieu l'importante découverte du verre soufflé au 1er siècle av. C. Auparavant les récipients étaient créés de manière très laborieuse, la pâte de verre était étendue en cordons sur un noyau central d'argile et de sable qui servait de moule. Une fois refroidi, le moule a été retiré et la pièce a été finie avec des techniques de polissage similaires à celles utilisées pour la pierre.

Verseuse en verre romain soufflé et sculpté, AD 70-120. c.

A l'époque romaine, la fabrication du verre s'est répandue dans tout l'Empire, de Rome à l'Allemagne . La production de verre brut était souvent réalisée dans des lieux autres que ceux où il était travaillé. A cette époque on découvrit que l'ajout d'oxyde de manganèse pouvait clarifier le verre 6 et on développa également le recyclage de la verrerie romaine. 7 

Le nom en espagnol vient aussi des Romains, puisque la coloration naturelle du verre était verte, nom qui se prononçait viride ou viridus ; d'où le nom viridium ou verre. 8 Ces progrès ont fait que dès le premier siècleUne industrie à grande échelle s'est développée, en particulier à Alexandrie , le verre devenant un produit beaucoup plus abordable et répandu qu'auparavant.

En Inde , le verre le plus ancien qui ait été trouvé est une perle de couleur rouge qui remonte au 18ème siècle avant JC. C., au cours de la civilisation de la vallée de l'Indus . Du verre d'époques ultérieures a été trouvé, mais ce n'est qu'au 3ème siècle avant JC. C. que l'on trouve en quantité appréciable, et dont l'usage s'est généralisé dès le premier siècle de notre ère. c.

Dans la Chine ancienne, le verre arrivait vers la période des Printemps et Automnes , sous forme de pièces importées d'Asie centrale. Plus tard, il existe des preuves archéologiques de la production de perles de verre à l' époque des Royaumes combattants , vers le début du ve siècle av. C. Par la suite, à l'époque des Han (206 av. J.-C.-220 ap. J.-C.) la production se diversifie pour décliner plus tard et réapparaître vers le ve siècle . 

La composition du verre chinois de cette période est très différente de celle du reste du monde, avec une formulation à base d' oxyde de baryum.et plomb. La proportion de BaO est de 5 à 15%, il a été supposé que ce matériau fournissait une turbidité au verre qui le faisait ressembler à du jade . Le verre est resté un sous-produit tout au long de l'histoire chinoise, loin derrière la porcelaine et d'autres matériaux plus prisés.

Le plus ancien " verre vénitien " connu date du xve siècle , bien que le verre soit fabriqué à Venise depuis le xe siècle . Centrés sur l' île de Murano , les Vénitiens dominèrent le marché européen jusqu'en l'an 1700. L'apport le plus important fut la production d'un verre sodo très ductile, dur et raffiné. 

Connu sous le nom de "cristallo", il était incolore, très transparent, très semblable au cristal de roche . 10 Ils étaient également réalisés en verre coloré et opaque. Vers la fin du xvie siècleles vases devinrent plus légers et plus délicats. Ils ont développé un type de filigrane de verre qui serait largement imité. Elle consistait à incorporer des brins de verre blanc opaque à l'intérieur d'un verre transparent, ce qui produisait un effet de dentelle.

À Murano également, de nombreux styles différents de lampes en verre sont apparus, bien que ce soit l'usine de Nevers, en France, qui soit devenue la plus célèbre au cours du xviie siècle . La pratique de la gravure au diamant, une technique des artisans hollandais du xviie siècle , a produit des motifs élaborés.

Les verriers d'Europe ont essayé de copier les techniques et les décorations des Vénitiens. L'information a été diffusée avec le livre L'Art du verre (1612) d' Antonio Neri , et aussi par les souffleurs de verre vénitiens, car bien qu'une loi interdise aux artisans verriers de quitter Venise et de divulguer les secrets de leur art, beaucoup se sont installés dans d'autres pays européens. 

Chaque pays a développé ses imitations. L'influence italienne décline au xviie siècle avec l'apparition de nouvelles méthodes de fabrication du verre en Allemagne et en Angleterre.



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