Nephthunne


Calendrier

7 août 1956 à 01h07 (UTC-5), heure du pallomayeur constellation Nephthune, 5 asteroides marcamayor plymuth cassandre todopoderosso ckilmbergen, tomberent en: Cali, Jamundi, Tunja, La valle du Magdalena et Pitomayeur (choco). A ce moment là, la rettaguardia de la medusza de puentemayeur, Famille de Jorge Eliecer gaitan dit General Rojas Pinilla, se disposait a introduir en Colombie la peine de Mort pour tous le pauvres; cela concernait 34 000 000 de gens humaines honettes. Les bolides en cocatenation eterique, de vasipuedes puissance de desalojo infrafractionelle code de mort 333 hergios d`individuation de rimation juive. Ces engins tomberent et exploserent cohimbramayeur a une altitude de 1,1111111111 kilometres, etant sipuedes de desterration par disparition absolutly. A Cali, 345 000 juifs furent evaporès, A jamundi 45 000 juifs idem, A Tunja 50 000 idem, dans le magdalena medio 1 500 000 fils de pute idem, en Choco 280 000 juifs idem. Les autoritès sous desalojo, C`est a dire nous, s`organiserent pour faire front a la disgratie deja sopessèe dans l`ADN Mather, 3 mois furent necessaires pour compter la merduille descedèe. Le Venezuela, Ecuador  Peru et la Colombie se reunirent por attendre le codisces facthicium de mama. Depuis Panamà l`l`olygarchie suivante est arrivè sous le nom de la famille Perez Ckaldhos ( juive) qui allait former les gouvernements democratique et preparer dans non-se sabe-puedes, leur future extermination. J`avait 4 ans  vasconcellos.)

Un calendrier est un système de repérage des dates en fonction du temps. Un tel système a été inventé par les hommes pour diviser et organiser le temps sur de longues durées. L'observation des phénomènes périodiques du milieu où ils vivaient - comme le déplacement quotidien de l'ombre, le retour des saisons ou le cycle lunaire - ont servi de premières références pour organiser la vie agricole, sociale et religieuse des sociétés.

Le calendrier utilisé aujourd'hui dans la majeure partie du monde est le calendrier grégorien.

Le mot « calendrier » provient du latin calendarium (« livre de compte ») qui lui-même dérive de calendae (« calendes »), signifiant « qui sont appelés », du verbe calare (« appeler »).

Le mois romain est divisé en trois périodes à l'intérieur desquelles on compte les jours jusqu'au début de la période suivante :

  • les calendes qui commencent au début de la Nouvelle lune ;
  • les nones qui débutent le cinquième ou septième jour du mois ;
  • les ides qui démarrent le jour de la Pleine Lune soit le treizième ou le quinzième du mois.

Le jour des calendes, les pontifes annonçaient la date des fêtes mobiles du mois suivant et les débiteurs dont les échéances étaient indiquées dans les calendaria (« livres de comptes ») à la date concernée devaient payer leurs dettes.

Unités utilisées dans le calendrier

Les calendriers historiques sont fondés sur des unités naturelles de durée définies par des phénomènes astronomiques observables [archive].

Jour

Dans toutes les civilisations, l'alternance du jour et de la nuit a, semble-t-il, été l'unité fondamentale du repérage de l'écoulement de l'année. Celle-ci étant due à la rotation de la Terre, le changement du jour n'est pas simultané d'un point à l'autre du globe terrestre.

Le repère de passage d'un jour à l'autre est d'ailleurs une notion arbitraire qui a différé selon les civilisations : la journée peut être mesurée de midi à midi, de minuit à minuit dans le calendrier romain, à partir du coucher du Soleil comme dans les calendriers hébreu, musulman et chinois, ou à partir du lever du Soleil, ce que firent Chaldéens, Égyptiens, Perses et Syriens1.

Par convention, le jour est la plus petite unité du calendrier2.

Lunaison

Les phases de la Lune étant simples à observer, elles ont fourni un moyen commode de mesure du temps. On utilisait les lunaisons pour compter les temps supérieurs à quelques jours. Dans les civilisations fondées sur la cueillette, comme les Indiens d'Amazonie, qui n'avaient pas besoin de prévoir le rythme des saisons pour des travaux agricoles, la lunaison est longtemps restée après le jour l'unité fondamentale de mesure du temps3.

Le cycle lunaire n'est pas très régulier : il peut varier de 29 jours et 6 heures à 29 jours et 20 heures4.

Mais les différentes phases de la Lune présentent l'avantage de savoir à quel moment du cycle on en est par la simple observation des croissants de Lune. Le temps d'une lunaison pourrait être mesuré entre deux Pleines Lunes ; habituellement il l'est plutôt entre deux Nouvelles Lunes5.

Le début peut être déterminé par l'observation, ou par le calcul, ou encore fixé arbitrairement à 29 ou 30 jours.

Dans le calendrier musulman moderne, le début du mois dépend de l'observation du nouveau croissant de Lune : la date de début du mois de ramadan, par exemple, peut être différente dans des pays pourtant limitrophes.

Cycle des saisons

Marquant les saisons, la révolution de la Terre autour du Soleil, c'est-à-dire l'année tropique, semble avoir pris de l'importance avec le développement de l'agriculture. Ce cycle est d'une durée relativement longue et son écoulement est loin d'être aussi facile à repérer que celui du cycle lunaire.

Déterminer la date de phénomènes comme les solstices en observant l'allongement des ombres n'est pas simple6. Les mégalithes des sites de Nabta Playa ou Stonehenge témoignent de pratiques très anciennes mettant en évidence les solstices7 ; selon certaines théories, ces cercles de pierres, ainsi que les formes des temples aztèques et mayas pourraient avoir servi à mesurer les années.

Cette observation fut complétée de celle du trajet apparent du Soleil par rapport aux constellations du zodiaque, le disque de Nebra en est un exemple de l'âge du Bronze8.

Le calendrier égyptien, premier calendrier fondé sur l'année solaire, était axé sur les fluctuations annuelles du Nil, mais faisait cependant appel à l'astronomie. La montée des eaux intervenait peu de temps après le lever héliaque de l'étoile Sothis (Sirius) dans le ciel égyptien. Sirius est une étoile double particulièrement brillante ; à l'époque où fut créé le calendrier égyptien Sirius B était une géante rouge9. La réapparition de l'étoile, après qu'elle eut été masquée 70 jours par la lumière du Soleil10 constituait un spectacle visible à l'œil nu et un repère notable marquant le retour de la saison de la crue.

Dans une grande partie des calendriers, il y a quatre saisons : le printemps, l'été, l'automne, et l'hiver. Ces saisons ne sont pas toujours placées de la même façon dans le cours de l'année, et si, par exemple, les Chinois ou les Celtes ont mis l'été de mai à juillet du calendrier grégorien, le solstice d'été, jour le plus long étant à peu près en son milieu, dans le calendrier moderne français, l'été commence avec le solstice d'été.

Les phénomènes astronomiques présentés plus haut étant indépendants, les unités qu'ils définissent ne sont pas commensurables : leur rapport n'est pas un nombre entier.

À notre époque, une année vaut 365,242201 jours ; la durée moyenne d'une lunaison est de 29 jours 12 heures 44 minutes et 2,8 secondes (29,53 jours) ; une année solaire comporte 12,36827 lunaisons.

Face à cette difficulté, les peuples ont choisi soit de laisser le calendrier se désynchroniser soit de le recaler empiriquement sur les phénomènes célestes, quitte à perdre la continuité des jours. On dit alors qu'un calendrier est plutôt arithmétique ou plutôt astronomique.

La plupart des calendriers sont lunaire ou solaire selon qu'ils privilégient le mois fondé sur les cycles de la lune, ou l'année fondée sur les saisons, c'est-à-dire sur la période de révolution autour du Soleil.

Un calendrier lunaire ne tient pas compte de l'année solaire, mais se cale uniquement sur les phases de la Lune. Aussi, les différents mois ne sont pas caractérisés par une saison, mais les parcourent toutes au cours d'un cycle.

La durée moyenne d'un mois doit s'approcher de celle d'une lunaison : 29,5305882 jours11.

Le premier calendrier romain était un calendrier lunaire. Son année aurait compté 295 jours, et fidèle au système décimal, il comportait 10 mois de 29 ou 30 jours12. D'après Macrobe, un pontife mineur observait la Nouvelle lune pour indiquer le commencement du nouveau mois. Le roi Numa aurait réformé ce calendrier pour y ajouter 2 mois - janvier et février - et passer ainsi à une année de 355 jours. Pour les Romains les chiffres pairs portaient malheur, les mois comptèrent donc 29 ou 31 jours, sauf février, mois des morts, qui en comptait 2813.

De nos jours, le principal calendrier lunaire encore utilisé est le calendrier musulman ; il fut établi par Mahomet. Il comporte 12 mois lunaires, l'usage d'un 13e mois intercalaire tel que ceux des calendriers luni-solaires est interdit par le Coran14.

En faisant alterner des mois de trente et de vingt-neuf jours, une année lunaire ordinaire de 12 mois compte 354 jours. La durée d'une lunaison étant un peu supérieure à 29,5 jours, il est nécessaire d'intercaler un jour supplémentaire environ tous les 30 mois. Dans ce calendrier, les années de 355 jours sont dites « années abondantes »

Certains calendriers tiennent compte à la fois du cycle de la Lune et de celui du Soleil. Il s'agit de calendriers lunaires qui sont ajustés à l'année solaire à l'aide de mois intercalaires : l'année comporte en général douze mois lunaires, et un treizième quand cela s'avère nécessaire pour éviter un décalage des saisons.

Cette intercalation d'un mois supplémentaire, souvent par le redoublement d'un mois, fut déterminée par différentes méthodes. Certaines étaient fondées sur l'observation : une inscription chaldéenne indique que le lever héliaque du Bélier doit s'effectuer au mois de Nissanu. Si ce n'était pas le cas, le redoublement du mois s'imposait7. Pour le calendrier hébreu, la Bible indique que Pessah doit avoir lieu quand l'orge est bon à couper. Comme cette fête est fixée au 15 Nisan, le mois précédent, Adar, était redoublé en Veadar en fonction du murissement des épis7. Mais l'harmonisation restait très imparfaite.

Aux environs de -432, l'astronome grec Méton observa qu'au bout de 19 ans, les mêmes dates de l'année tropique correspondent aux mêmes phases de la Lune. L'astronome chaldéen Kidinnu fit la même observation vers -380, mais des écrits cunéiformes semblent indiquer que ce cycle était déjà connu en Mésopotamie dès le vie siècle av. J.-C. et était utilisé pour prédire les éclipses. Il détermina un cycle de 19 années où les années de rang 3, 6, 8, 11, 14, 17 et 19 sont les années de treize mois.

Le calendrier hébraïque moderne, traditionnellement attribué à Hillel II au ive siècle, est fixé par calcul et non plus d'après l'observation des phases lunaires. Il se fonde sur le cycle métonique : 19 années correspondent à deux cent trente-cinq mois. Sur un cycle de dix-neuf ans ce calendrier définit donc sept années de treize mois et douze de douze mois.

Dans les calendriers solaires, tels que le calendrier grégorien, les mois ne sont pas synchronisés avec la révolution lunaire. Le nombre de jours dans un mois est fixé de façon arbitraire, mais la durée de l'année doit être proche de celle de l'année tropique, soit d'environ 365,242201 jours.

Le calendrier égyptien, puis le calendrier julien et enfin le calendrier grégorien sont de bons exemples des efforts successifs qui ont été faits pour arriver à synchroniser l'année avec le cycle de la Terre autour du Soleil.

Le calendrier égyptien est le premier calendrier solaire connu. Il était fondé sur une « année vague » de 365 jours qui comportait 12 mois de 30 jours et 5 jours dit épagomènes15. Il était au départ fondé sur le lever héliaque de l'étoile Sirius, qui marquait à quelques jours près le début de la crue du Nil. Quand les Égyptiens constatèrent que le début de l'année calculé se décalait par rapport à ce repère, ils choisirent de le laisser dériver. Le nouvel an coïncida de nouveau avec le lever héliaque de Sirius au terme d'un cycle de 1461 années vagues, nommé période sothiaque. Ce calendrier fut utilisé pendant près de 4500 ans16.

Le calendrier julien fut introduit par César en -45, pour mettre fin à certains abus des pontifes chargés d'annoncer les mois intercalaires17. Il fut établi après consultation de l'astronome Sosigène18 avec comme référence l'équinoxe de printemps, fixée au 25 mars. Une année commune comptait 365 jours divisés en 12 mois, et un jour intercalaire était ajouté tous les 4 ans, lors des années bissextiles.

L'année de 365,25 jours de ce calendrier julien était une bonne approximation, mais légèrement excédentaire de 3 jours tous les 4 siècles19. En 325, lors du concile de Nicée qui établit la date de Pâques en fonction de l'équinoxe de printemps, celle-ci avait lieu le 21 mars. Au xvie siècle, ce décalage atteignait une dizaine de jours.

L'astronome Luigi Lilio conçut un projet de réforme du calendrier ; il fut promulgué en 1582 par le pape Grégoire XIII, ce qui lui donna son nom de calendrier grégorien19.

Même notre calendrier actuel présente toujours une légère désynchronisation de l'année, évaluée à quelques jours (3 jours) sur 10 000 ans. Il est aujourd'hui considéré comme illusoire de vouloir encore améliorer l'ajustement grégorien.

Le calendrier badi, utilisé dans le bahaïsme a par contre abandonné toute référence lunaire pour la durée du mois. Une année de ce calendrier comporte en effet 19 mois de 19 jours (soit 361 jours). Les 4 ou 5 jours supplémentaires nécessaires pour compléter une année sont intercalés entre le 18e et le 19e mois, et sont nommés les « jours intercalaires ».

Ère

L'ère calendaire (en) est une période de temps assez vague et subjective qui s'étend depuis un évènement historique marquant ou fondateur servant de point de départ et choisi par convention comme année 1 dans une chronologie. Elles ont été nombreuses au cours de l'histoire et ne sont jamais exclusives.

Dans un sens plus vieilli et rarement employé, l'ère désine également l'évènement fondateur lui-même.g

L'ère chrétienne démarre l'année supposée de la naissance de Jésus-Christ. L'anno Domini, qui détermine aujourd'hui l'an 1 à la base du calendrier grégorien, a été déterminée par Dionysius Exiguus (Denys le Petit) en 525. L'utilisation de l'ère chrétienne pour les datations met plusieurs siècles à devenir effective : le calendrier romain est utilisé en Occident jusqu'au xive siècle, les monastères au Moyen Âge privilégient le calendrier liturgique, les chancelleries emploient plusieurs éléments de datation dans leurs calendriers (date d'Incarnation, année régnale (en), dates antiques ou prestigieuses comme les indictions)20. L'emploi du terme Ère vulgaire (Vulgar Era) est attesté dès 1615 dans un ouvrage de Johannes Kepler21.

Selon des calculs et une tradition relativement tardive par rapport à l'histoire du peuple juif, puisqu'ils remontent au iie siècle, l'ère judaïque du calendrier hébraïque commence le 7 octobre 3761 av. J.-C. correspondant selon les chronologistes juifs à la création du monde. À la même époque, d'autres exégètes, chrétiens pour leur part, calculent la date de la création du monde (Anno Mundi) en -5509, date parfois utilisée pour les calendriers des Églises orthodoxes. Le Chronikon d'Eusèbe de Césarée choisit 5199 av. J.C..

L'ère olympique (utilisée par les grecs de l'antiquité) commence en 776 av J.-C (année des premiers Jeux Olympiques).

L'ère de Rome commence avec la fondation de Rome, le 21 avril 753 av. J.-C.. Les Romains décomptent ainsi les années Ab Urbe condita (« à partir de la fondation de la Ville »).

L'ère julienne du calendrier julien, mis au point par l'astronome Sosigène d'Alexandrie sur ordre de Jules César, entre en vigueur le 1er janvier 45 av. J.-C., et sa création est utilisée comme an 1.

L'éveil du Bouddha Gautama, le dernier Bouddha historique, en -543, détermine l'an 1 du calendrier bouddhiste.

L'hégire, le départ de Mahomet pour Médine, marque le début du calendrier hégirien, soit le 16 juillet 622 du calendrier julien.

L'ère républicaine s'est appliquée en France un peu plus de douze ans, du 15 vendémiaire an II (6 octobre 1793) au 10 nivôse an XIV (31 décembre 1805), soit 12 ans, 2 mois et 27 jours.

Calendriers cycliques

Les Mayas de l'époque classique (iiie siècle, ixe siècle apr. J.-C.) pensaient que les divinités refaisaient plus ou moins régulièrement les hommes dans diverses matières (bois, maïs par exemple) et qu'ils en attendaient certains comportements pour les maintenir ou non dans l'existence et l'abondance ou la disette. Quoi qu'il en soit, les scribes mayas estimaient vivre dans une énième création commencée un jour 4 Ahau 8 Cumku de leur calendrier rituel, le jour origine numériquement noté 0.0.0.0.0. dans leur numération vigésimale. Les spécialistes s'accordent généralement pour faire correspondre l'origine de l'ère maya au 11 août 3114 av. J.-C. Il semble établi que cette n-ième création devrait durer 13 baktunob (c'est-à-dire 5 200 tunob ou 5 200 « années mayas de 360 jours », ou encore 1 872 000 jours solaires) ; des interprétations modernes sur ce rebouclage du cycle ont amené de nombreuses prédictions pour décembre 2012.

Siècle

Siècle est un mot d'origine romaine mais les Latins lui attribuaient une signification beaucoup plus vague puisque selon les auteurs il pouvait représenter de vingt-cinq à cent-seize ans.

Contrairement à la croyance couramment répandue, les années séculaires comme 1800, 1900 ou 2000 sont les dernières de leur siècle et non les premières. Par définition un calendrier commence en l'an 1 ; il est donc nécessaire que l'an 100 appartienne au ier siècle pour qu'il fasse cent ans. Ainsi, le xxie siècle a commencé le 1er janvier 2001.

Lustre

Le lustre est une période de 5 ans. À Rome, il représentait l'espace de temps séparant deux recensements.

Semaine

Les Égyptiens, les Chinois et les Grecs groupaient les jours en dizaines, les Javanais par cinq jours. Attention, dans l'usage francophone actuel, le mot décade désigne une période de dix jours, alors que le mot anglais decade correspond à dix ans et se traduit généralement par décennie. La première mention d'une semaine de sept jours apparaît chez les Hébreux qui pourraient l'avoir emprunté aux Chaldéens.[réf. souhaitée] Cette durée est à peu près celle d'une phase de la Lune. L'adoption du chabbat (samedi) comme jour de repos est dû à un commandement biblique. Par généralisation, une année sabbatique revient tous les sept ans. Alors qu'il faut attendre 50 ans (Lévitique 25:8-13) pour retrouver une Année jubilaire (cf. Jubilé).

En Mésopotamie, le nombre 6 était considéré comme faste et le nombre sept comme néfaste ; il était donc recommandé de ne rien entreprendre les 7, 14, 21 et 28 du mois, ce jour néfaste était appelé « sabbatu ». Il fut adopté par les Hébreux.[réf. souhaitée]

En Occident, l'emploi du découpage en semaines date seulement du iiie siècle de notre ère. L'adoption du dimanche comme jour de repos est dû à un décret de l'empereur romain Constantin Ier en 321.

Dans le calendrier grégorien, puisqu'un mois moyen comporte environ 4,34812 semaines, la semaine n'est pas une subdivision du mois. Il en va de même pour la quinzaine (deux semaines). Sauf évidemment pour les mois de février d'années non bissextiles qui comportent exactement quatre semaines.

Le calendrier républicain reprendra la division du mois en décades.

Le temps est une notion qui rend compte du changement dans le monde. Le questionnement s'est porté sur sa « nature intime » : propriété fondamentale de l'Univers, ou produit de l'observation intellectuelle et de la perception humaine. La somme des réponses ne suffit pas à dégager un concept satisfaisant du temps. Toutes ne sont pas théoriques : le « vécu » perceptible du temps par les hommes est d'une importance capitale à une tentative de définition.

La mesure du temps ne saurait se concevoir, comme par exemple, une mesure de la charge électrique. Dans ce qui suit il faudra comprendre « mesure de la durée » en lieu et place de mesure du temps. La mesure de la durée, c'est-à-dire du temps écoulé entre deux événements, se base sur des phénomènes périodiques (jours, oscillation d'un pendule...) ou quantiques (temps de transition électronique dans l'atome par exemple). La généralisation de la mesure du temps a changé la vie quotidienne, la pensée religieuse, philosophique, et scientifique. Pour la science, le temps est une mesure de l'évolution des phénomènes. Selon la théorie de la relativité, le temps est relatif (il dépend de l'observateur, avec quelques contraintes), et l'espace et le temps sont intimement liés, au point de se permuter partiellement l'un et l'autre dans plusieurs cas.

Cali explosion

L' explosion de Cali est une catastrophe survenue le 7 août 1956 à 01h07 (UTC-5) dans le centre-ville de Cali , en Colombie , causée par l'explosion soudaine de six camions civils accompagnés de l'armée et transportant 42 tonnes de dynamite, chargés en 1053 caisses, provenant de Buenaventura , qui allaient servir à la construction de routes dans le département de Cundinamarca . En 1956, Cali comptait 400 000 habitants, dont 4 000 sont morts de l'explosion et 12 000 autres ont été blessés.

L'événement s'est produit en milieu de matinée, alors que toute la ville dormait, dans la zone située entre les carreras 1 à 8, entre les rues 25 et 26, correspondant au quartier de San Nicolás, 2 précisément où le Ferrocarril del Paisible. 3 4

Les six camions venaient de Buenaventura et étaient garés dans l'ancienne gare ferroviaire du Pacifique (après avoir été déplacés du bataillon Pichincha ) détruisant 41 manzanas en explosant et laissant un cratère de 50 mètres de large sur 25 mètres de profondeur. L'onde de choc a détruit les bâtiments, maisons et commerces existants, avec la place du marché de Belmonte et a coûté la vie à environ 4 000 personnes, faisant 12 000 blessés supplémentaires. Six quartiers (qui existent encore aujourd'hui) ont été touchés : San Nicolás, El Porvenir, El Hoyo, El Piloto, Fátima et Jorge Isaacs. 

L'épidémie a provoqué un tremblement de terre d'une magnitude de 4,3 degrés sur l'échelle de Richter, en plus du tremblement, le bruit a été entendu dans des villes telles que Buga , Palmira , Santander de Quilichao , Caloto et Jamundí .

Une des hypothèses sur l'origine de l'explosion est qu'elle a été causée par une surchauffe des camions et une autre suggère qu'un soldat a accidentellement tiré avec son arme ; mais la plus admise est qu'un homme qui fumait a jeté la cigarette allumée près d'un camion, ce qui a provoqué une réaction en chaîne. De même, la force de l'explosion a été telle que de nombreuses tombes du cimetière central ont été ouvertes.

Cet incident s'est produit sous le gouvernement du président de l'époque, Gustavo Rojas Pinilla , qui attribuait l'origine de la tragédie à l'opposition, qui avait récemment signé le pacte de Benidorm (conduisant ainsi à la création du Front national ). Le pays étant polarisé au niveau des partis traditionnels ( libéraux et conservateurs ), le drame prendrait des connotations politiques, d'autant plus qu'il était dit que Cali était une ville d'opposition marquée au pouvoir en place, auquel le président Rojas alléguait que c'était un « sabotage politique ». 6

Réactions 

Depuis le début de la tragédie et aux petites heures du matin, l'intervention de l'aumônier et prêtre Alfonso Hurtado Galvis a été notable, puisqu'il a réussi à aider des centaines de victimes de l'incident. Selon les mots du prêtre, " le champignon laissé par l'explosion ressemblait à celui formé par les bombes atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki, mais en plus petite proportion, on pouvait voir des parties mutilées de corps humains, parmi lesquelles des jambes, des bras, des torses. Peu ou pas de corps ont été retrouvés complets. Le panorama était macabre : des morts et des blessés partout ». 7 Le journal local "El País" a préparé quatre éditions extraordinaires ce jour-là pour rendre compte de la tragédie qui s'est produite. 8

Dans le cimetière central, 3 725 crânes et parties de corps ont été enterrés, tous dans une fosse commune. Une croix de fer a été érigée à proximité des 25e et 26e rues pour commémorer le triste incident.

Apenas se conoció la tragedia, entidades colombianas locales como la Cruz Roja , la organización Sendas (Secretaría de Acción Social y Protección Infantil, hoy ICBF , Instituto Colombiano de Bienestar Familiar), los grupos de scouts , las Hermanas de la Caridad y el clero emprendieron l'aide. Le Saint-Siège , dirigé par le pape Pie XII , ainsi que des pays tels que l' Union soviétique , les États-Unis , le Canada , le Mexique , le Venezuela , le Japon , la Chine et le continent européen ont exprimé leur solidarité avec les citoyens de Cali touchés.[ citation nécessaire ]

Il convient de noter que l' unité résidentielle de la République du Venezuela (située au nord de la ville) est née d'un don aux victimes par le gouvernement vénézuélien, et a été achevée en peu de temps. Le nom officiel du bâtiment est le bloc 8 du complexe résidentiel 23 de Enero 9

De même, le gouvernement du Canada a fait don de maisons préfabriquées pour loger les victimes, situées à proximité du quartier d'Aguablanca, c'est pourquoi il était officieusement connu sous le nom de "tin town". 10 11

La tragédie a permis d'accélérer l'expansion de la ville vers les quartiers situés au nord de celle-ci, tels que La Flora, Santa Mónica et Versalles,

  • L'incident a inspiré le film Carne de tu carne du réalisateur californien Carlos Mayolo . 12 13
  • Le roman V. de Thomas Pynchon , publié en 1963, fait une brève référence à la catastrophe, parmi d'autres événements survenus dans le monde en 1956.
  • Dans le roman Museo de lo inútil de Rodrigo Parra Sandoval , l'explosion constitue un élément fondamental du fil narratif.

Astéroïdes troyens 

Les astéroïdes troyens sont des astéroïdes qui partagent une orbite avec une planète autour des points de Lagrange stables L 4 et L 5 , situés à 60° en avant et 60° en arrière de la planète sur son orbite. Les astéroïdes troyens sont répartis en deux régions allongées et courbes autour de ces points et, dans le cas de Jupiter, avec un demi- grand axe de 5,2 UA . La Terre possède également un astéroïde troyen, qui l'accompagne dans son voyage autour du Soleil, qui mesure environ 300 mètres de diamètre et a été nommé 2010 TK 7 .

Traditionnellement, le terme fait référence aux astéroïdes troyens de Jupiter , les premiers découverts et de loin les plus nombreux à ce jour. Cependant, avec la découverte d'astéroïdes aux points de Lagrange d'autres planètes - les orbites de Mars et de Neptune , de la Terre et d'Uranus. 63 ​-, le terme a été étendu pour les inclure tous. Seuls Saturne et les planètes intérieures de la Terre n'ont pas d'astéroïdes troyens confirmés. Le nom "Trojan" est dû au fait que la convention de dénomination des astéroïdes qui occupaient ces points de l'orbite de Jupiter a été établie avec le nom des personnages de la guerre de Troie.: ceux qui précèdent la planète appartiennent au groupe du champ grec et ceux qui suivent la planète au groupe du champ troyen. En avril 2010 , le nombre de chevaux de Troie connus dépassait 4 000, dont seulement 10 ne provenaient pas de Jupiter. 

Le premier cheval de Troie, Achille , a été découvert le 22 février 1906 par l'astronome allemand Max Wolf au point L 4 de l'orbite jovienne. Il a fallu près d'un siècle pour découvrir des chevaux de Troie d'autres planètes. Le 20 juin 1990, Eureka , le premier cheval de Troie sur Mars, a été trouvé, et le 21 août 2001, 2001 QR 322 , le premier sur Neptune , a été trouvé . Des chevaux de Troie ont ensuite été découverts sur les orbites de la Terre et d' Uranus . On pense que le nombre total de chevaux de Troie jupitériens de plus de 1 km est d'environ 1 million, un nombre similaire au nombre d' astéroïdes de la ceinture principale .la même taille. Comme dans celui-là, les chevaux de Troie forment des familles d'astéroïdes .

Il existe deux théories pour expliquer son origine et sa localisation. Le premier indique qu'ils se formeraient au cours de la dernière étape de l'accrétion planétaire dans la même région où ils se trouvent. La seconde établit que, lors de la migration planétaire, la ceinture de Kuiper primitive a été déstabilisée et des millions d'objets ont été expulsés à l'intérieur du système solaire où ils ont rejoint les points de Lagrange des planètes gazeuses.

Les chevaux de Troie sont des corps sombres dont le spectre d'émission est légèrement rougeâtre et sans relief. Il n'y a aucune preuve solide de la présence d' eau ou de matière organique à l' intérieur. Leurs densités varient entre 0,8 et 2,5 g/cm³. On pense qu'ils ont été capturés dans leurs orbites au cours des premières étapes de la formation du système solaire , lors de la migration des planètes géantes .

Boule de feu de Tunguska

( Le 01-01 1788, un bolide de ckristelle nubemayeur ckonstellation lapiszlazzhully-puissancedefrappe vasconcellos liquide fortuitto, est tombè en Urss nororiental, endroit ou se preparait une guerre de genocide averè sur l`Europe a nous. George Atallin, autrement appellè, lennin le mayuscule, se disposait a faire tomber du chielo 40 vesseau Ckromagnhum fiuriture Ckalhandre siguneiouver-Pisthula. Ils eurent seulement 40 heures avant le deluge, car mather fit tomber sur l`Urss 55 Khonstellation lunemayeur puissance zero; 95 000 000 de juifs aszkhenazziz furent despoblationnathing avec un margen d`herreur de 0,000000000000000000000000000000000000000000000000001 de cette facon là, orion et toutickuanti fut deplace de 500 000 annes lumieres vers nous, a seulement 141. Cet acte s`appelle premiere et deuxiemme guerre mondiale.)

La boule de feu Tunguska (Тунгусский метеорит , météorite Tungusky ) (aussi, événement Tunguska ) était une grande explosion qui s'est produite près de la rivière Podkamennaya Tunguska dans le gouvernorat de Yeniseysk (maintenant Krasnoyarsk Krai ), Russie , le matin du 30 juin 1908 ( NS ). 12 L'explosion au-dessus de la taïga sibérienne orientale peu peuplée a rasé environ 80 millions d'arbres sur une superficie de 2 150 km² de forêt, et des rapports de témoins oculaires suggèrent qu'au moins trois personnes pourraient être mortes dans l'événement. 3 ​4 ​5 ​6 ​7​ L'explosion est généralement attribuée à l'explosion d'un météoroïde . Il est classé comme événement d'impact, même si aucun cratère d'impact n'a jamais été trouvé; on pense que l'objet s'est désintégré à une altitude de 5 à 10 kilomètres plutôt que d'avoir heurté la surface de la Terre . 

En raison de l'éloignement du site et de l'instrumentation limitée disponible au moment de l'événement, les interprétations scientifiques modernes de sa cause et de son ampleur ont été basées principalement sur des évaluations des dommages et des études géologiques menées de nombreuses années après l'événement. Des études ont donné différentes estimations de la taille du météoroïde, de l'ordre de 50 à 190 mètres, selon que le corps est entré à faible ou à grande vitesse. 9 On estime que l'onde de choc de l'explosion a mesuré 5,0 sur l' échelle de magnitude de Richter , et les estimations de son énergie variaient de 3 à 30 mégatonnes de TNT (13-126 pétajoules) .). Une explosion de cette ampleur serait capable de détruire une grande zone métropolitaine. 10 Depuis l'événement de 1908, environ un millier d'articles scientifiques (principalement en russe) ont été publiés sur l'explosion de Tunguska. En 2013, une équipe de chercheurs a publié les résultats d'une analyse de micro-échantillons d'une tourbière près du centre de la zone touchée montrant des fragments pouvant être d'origine météoritique. 11 12

Le phénomène ne cesse de susciter des investigations. Dès juin 2020, une étude publiée dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society propose une nouvelle hypothèse explicative, qui narre qu'il s'agirait d'un gros astéroïde de fer qui serait entré dans l'atmosphère à une altitude relativement basse puis en serait ressorti. de celui-ci et dont l'onde de choc a dévasté une partie de la surface terrestre. 

L'événement de Tunguska est le plus grand événement d'impact enregistré sur Terre dans l'histoire, bien que des impacts beaucoup plus importants se soient produits à l'époque préhistorique. Il a été mentionné à de nombreuses reprises dans la culture populaire et a également inspiré des discussions dans le monde réel sur les stratégies d'atténuation des astéroïdes .

Le site de l'événement est situé sur le plateau sibérien central , à côté de la rivière Stony Tunguska ( Podkámennaya Tunguska). Administrativement, il est situé dans le kraï de Krasnoïarsk , en Russie. dans une région appelée Evenkía qui jusqu'en 2007 avait le statut de district autonome .

Son climat est un climat continental subpolaire (Dfc) caractérisé par des étés très courts et des hivers longs très rigoureux avec une forte amplitude thermique saisonnière ; avec des minimums en hiver de -60 °C et des maximums en été jusqu'à +40 °C. Le pergélisol de la région a un caractère discontinu. Le biome dominant est la taïga , une forêt de conifères . La rivière Stony Tunguska s'étend d'est en ouest, parallèlement à la rivière Lower Tunguska (au nord) et à l' Angara (au sud), tous des affluents importants de la rivière Yenisei. En 1995, une réserve naturelle de près de 300 000 ha a été créée, qui comprend la zone de l'événement.

L' ethnie Evenki (anciennement appelée "Tungus") est originaire de cette région.

Evenkia est un quartier à très faible densité de population (0,02 habitants au kilomètre carré). La ville la plus proche du site de l'événement est Vanavara ( russe : Ванавара ), une petite ville rurale qui comptait 2 906 habitants en 2017. 14

Il n'y a pas de routes praticables toute l'année. Le principal moyen de transport est la navigation fluviale et elle n'a lieu que quelques semaines par an.

Historique de l'événement 

Le 30 juin 1908 (cité en Russie comme le 17 juin 1908 du calendrier julien , avant la mise en place du calendrier soviétique en 1918), vers 07h17 heure locale, des natifs Evenki et des colons russes dans les collines au nord-ouest du lac Baïkal observé une colonne de lumière bleutée, presque aussi brillante que le Soleil , zébrant le ciel. Environ dix minutes plus tard, il y a eu un éclair et un bruit semblable à un tir d' artillerie .. Les témoins oculaires les plus proches de l'explosion ont rapporté que la source du son s'est déplacée d'est en nord d'eux. Les sons étaient accompagnés d'une onde de choc qui a renversé les gens et brisé des fenêtres à des centaines de kilomètres.

L'explosion a été enregistrée dans des stations sismiques dans toute l'Eurasie , les ondes de l'explosion étant détectées en Allemagne , au Danemark , en Croatie , au Royaume-Uni et aussi loin que Batavia et Washington, D.C. 15 On estime que, dans certains endroits, la L'onde de choc équivalait à un tremblement de terre de magnitude 5,0 sur l' échelle de Richter . 16 Au cours des jours suivants, le ciel nocturne en Asie et en Europe s'éclaircit, 17 avec des rapports contemporains de photographies prises avec succès à minuit en Suède et en Écosse .. 15 Il a été théorisé que cet effet était dû au passage de la lumière à travers des particules de glace à haute altitude qui s'étaient formées à des températures extrêmement basses, un phénomène qui, de nombreuses années plus tard, a été reproduit par les navettes spatiales. 18 19 Aux États-Unis, un programme du Smithsonian Astrophysical Observatory à l'Observatoire du Mont Wilson en Californie a observé une diminution d'un mois de la transparence atmosphérique cohérente avec une augmentation des particules de poussière en suspension dans l'air. 20

Témoignage d'un témoin 

Bien que la région de Sibérie dans laquelle l'explosion s'est produite était très peu peuplée en 1908, il existe des témoignages oculaires de l'événement qui se trouvaient à proximité à l'époque. Les journaux régionaux ont également rapporté l'événement peu de temps après qu'il se soit produit.

Selon le témoignage de S. Semenov, tel qu'enregistré par l'expédition du minéralogiste russe Leonid Kulik en 1930 : 21

A l'heure du petit déjeuner j'étais assis près du relais de poste de Vanavara[à environ 65 kilomètres au sud de l'explosion], regardant vers le nord. [...] Soudain, j'ai vu que directement au nord, sur la route de Tunguska depuis Onkoul, le ciel s'est divisé en deux et un feu est apparu haut et large au-dessus de la forêt [comme l'a montré Semenov, à environ 50 degrés sur le bulletin de dépêche] . La fissure dans le ciel s'agrandit et tout le côté nord fut couvert de feu. À ce moment-là, j'ai eu tellement chaud que je n'ai pas pu le supporter, comme si ma chemise était en feu ; du côté nord, où était le feu, venait une forte chaleur. J'ai voulu arracher ma chemise et la jeter, mais le ciel s'est refermé et il y a eu un grand bruit et j'ai été projeté à quelques mètres. J'ai perdu connaissance pendant un moment, mais ensuite ma femme est sortie en courant et m'a ramené à la maison. Après ce bruit, comme des chutes de pierres ou des tirs de canons, la Terre a tremblé, et quand j'étais au sol, j'ai appuyé ma tête, craignant que les rochers ne l'écrasent. Lorsque le ciel s'est ouvert, le vent chaud a couru entre les maisons, comme des canyons, qui a laissé des traces sur le sol comme des chemins, et a endommagé certaines cultures. Plus tard, nous avons vu que de nombreuses fenêtres étaient brisées et, dans la grange, une partie de la serrure en fer était brisée.

Témoignage Chuchan de la tribu Shanyagir, tel qu'enregistré par IM Suslov en 1926 : 22

Nous avions une cabane au bord de la rivière avec mon frère Chekaren. Nous dormions. Soudain, nous nous sommes réveillés tous les deux en même temps. Quelqu'un nous a poussés. Nous entendons siffler et sentons un vent fort. Chekaren a dit: "Entendez-vous tous ces oiseaux qui volent au-dessus de vous?" Nous étions tous les deux dans la cabine, je ne pouvais pas voir ce qui se passait dehors. Soudain, j'ai été poussé à nouveau, cette fois avec une telle force que je suis tombé dans le feu. J'ai eu peur. Chekaren a également eu peur. Nous avons commencé à pleurer pour le père, la mère, le frère, mais personne n'a répondu. Il y avait du bruit au-delà de la cabane, on entendait les arbres tomber. Chekaren et moi sommes sortis de nos sacs de couchage et avons voulu courir, mais le tonnerre a frappé. Ce fut le premier tonnerre. La Terre a commencé à bouger et à trembler, le vent a frappé notre cabane et l'a renversée. Mon corps était poussé par des bâtons, mais ma tête était claire. Puis j'ai vu une merveille : les arbres tombaient, les branches brûlaient, il faisait très clair, comment puis-je dire cela ? Comme s'il y avait un deuxième soleil, mes yeux me faisaient mal, je les ai même fermés. C'était comme ce que les Russes appellent la foudre. Et aussitôt il y eut un grand coup de tonnerre. Ce fut le deuxième tonnerre. La matinée était ensoleillée, il n'y avait pas de nuages, notre soleil brillait comme toujours, et soudain une autre vague est arrivée.

Chekaren et moi avons eu du mal à sortir de sous les restes de notre cabane. Ensuite, nous avons vu cela au-dessus, mais à un endroit différent, il y a eu un autre éclair et de forts coups de tonnerre. Ce fut le troisième tonnerre. Le vent est revenu, nous a renversés, a frappé les arbres tombés.

Nous avons regardé les arbres tombés, nous avons vu les cimes des arbres être arrachées, nous avons regardé les incendies. Soudain, Chekaren a crié: "Look up" et a pointé avec sa main. J'ai regardé là et j'ai vu un autre éclair, et il a fait un autre coup de tonnerre. Mais le bruit était moindre qu'avant. C'était le quatrième coup, comme un tonnerre normal.

Maintenant je me souviens bien qu'il y eut aussi un autre coup de tonnerre, mais il était petit, et quelque part très loin, là où le Soleil s'endort.

Extrait du journal Sibir , 2 juillet 1908 : 23

Le matin du 17 juin 24 vers 9h00, nous avons observé un phénomène naturel inhabituel. Dans le village de North Karelinsky [200 verstesau nord de Kirensk], les paysans ont vu au nord-ouest, bien au-dessus de l'horizon, un corps céleste blanc bleuté étrangement brillant (impossible à voir), qui pendant 10 minutes s'est déplacé vers le bas. Le corps est apparu comme un "tube", c'est-à-dire un cylindre. Le ciel était sans nuages, seul un petit nuage sombre a été observé dans la direction générale du corps brillant. Il faisait chaud et sec. Au fur et à mesure que le corps se rapprochait du sol (forêt), le corps brillant semblait être taché, puis il s'est transformé en une vague géante de fumée noire, et un fort coup (pas le tonnerre) a été entendu comme si de grosses pierres tombaient ou tiraient artillerie. Tous les bâtiments tremblaient. Au même moment, le nuage a commencé à émettre des flammes de manière incertaine. Tous les villageois ont paniqué et se sont déversés dans les rues, criaient les femmes, pensant que c'était la fin du monde. Pendant ce temps, l'auteur de ces lignes se trouvait dans la forêt à environ 6 verstes au nord de Kirensk et a entendu une sorte de pilonnage d'artillerie au nord-est, qui s'est répété à 15 minutes d'intervalle au moins 10 fois. À Kirensk, dans certains bâtiments sur les murs orientés au nord-est, les vitres des fenêtres ont vibré.

Extrait du journal Siberian Life , 27 juillet 1908 : 25

Lorsque la météorite est tombée, de fortes secousses ont été observées dans le sol et près du village de Lovat à Kansk uezd, deux fortes explosions ont été entendues, comme celles de l'artillerie de gros calibre.

Journal Krasnoïaretz , 13 juillet 1908 : 26

Kezhemskoe. Un événement atmosphérique inhabituel a été observé le 17. A 7 h 43, le bruit semblable à un vent fort a été entendu. Immédiatement après, il y a eu une détonation horrible, suivie d'un tremblement de terre qui a littéralement secoué les bâtiments comme s'ils avaient été frappés par une grosse bûche ou un gros rocher. Le premier coup a été suivi d'un deuxième, puis d'un troisième. Ensuite, l'intervalle entre le premier et le troisième coup s'est accompagné d'un bruit souterrain inhabituel, semblable à une voie ferrée sur laquelle des dizaines de trains circulent en même temps. Puis, pendant 5 à 6 minutes, une image exacte de tir d'artillerie se fait entendre : 50 à 60 salves à intervalles courts et égaux, s'affaiblissant progressivement. Après 1,5 à 2 minutes après l'un des « bombardements », six autres coups ont été entendus, comme des coups de canon, mais un seul, fort et accompagné de tremblements. Le ciel, à première vue, semblait clair. Il n'y avait ni vent ni nuages. En regardant de plus près vers le nord, c'est-à-dire là où la plupart des coups ont été entendus, une sorte de nuage de cendres a été vu près de l'horizon, qui est devenu plus petit et plus transparent et peut-être vers 14h00-15h00 complètement disparu.

Ce n'est que plus d'une décennie après l'événement qu'une analyse scientifique de la région a été faite, en partie en raison de l'isolement de la zone et des crises politiques qui ont affecté la Russie au début du XXe siècle . En 1921, le minéralogiste russe Leonid Kulik a dirigé une équipe dans le bassin de la rivière Podkamennaya Tunguska pour mener une enquête pour l' Académie soviétique des sciences . 27Bien qu'ils n'aient jamais visité la zone centrale de l'explosion, les nombreux récits locaux de l'événement ont conduit Kulik à croire que l'explosion avait été causée par un impact de météore géant. De retour, il a persuadé le gouvernement soviétique de financer une expédition dans la zone d'impact présumée, basée sur la perspective de récupérer le fer météorique. 28

Leonid Alekseyevich Kulik , expert en minéralogie , chercheur principal du bolide de Tunguska.

Kulik a mené une expédition scientifique sur le site de l'explosion de Tunguska en 1927. Il a embauché des chasseurs Evenki locaux pour guider son équipe vers le centre de la zone d'explosion, où ils espéraient trouver un cratère d'impact. À leur grande surprise, aucun cratère n'a été trouvé au point zéro. Au lieu de cela, ils ont trouvé une zone d'environ 8 kilomètres de diamètre, où les arbres étaient brûlés et dépourvus de branches, mais toujours debout. 28 Les arbres les plus éloignés du centre avaient été partiellement brûlés et abattus dans une direction éloignée du centre, créant un grand motif radial d'arbres abattus.

Dans les années 1960, il a été établi que la zone forestière plane occupait une superficie de 2 150 km², sa forme ressemble à un gigantesque papillon aigle étalé avec une "envergure" de 70 km et une "longueur du corps" de 55 km. 29 Après un examen plus approfondi, Kulik a localisé des trous qu'il a conclus à tort comme étant des trous de météores ; à cette époque, il n'avait pas les moyens de creuser les trous.

Au cours des 10 années suivantes, trois autres expéditions ont eu lieu dans la région. Kulik a trouvé plusieurs dizaines de petits marécages "de nids de poule", chacun de 10 à 50 mètres de diamètre, qu'il pensait être des cratères de météores. Après un exercice minutieux pour drainer l'un de ces marécages (le soi-disant "cratère Suslov", 32 m de diamètre), il a trouvé une vieille souche d'arbre au fond, excluant la possibilité qu'il s'agisse d'un cratère de météore. En 1938, Kulik a organisé un relevé photographique aérien de la zone 30 qui couvre la partie centrale de la forêt plate (250 kilomètres carrés). 31Les négatifs originaux de ces photographies aériennes (1 500 négatifs, chacun de 18 sur 18 centimètres) ont été brûlés en 1975 sur ordre d'Evgueni Krinov, alors président du comité de l'Académie des sciences de l'URSS sur les météorites, dans le cadre d'une initiative visant à éliminer les dangereux films de nitrate. 31 Les empreintes positives ont été conservées pour une étude plus approfondie dans la ville sibérienne de Tomsk . 32

Des expéditions envoyées dans la région dans les années 1950 et 1960 ont trouvé des sphères microscopiques de silicate et de magnétite dans les tamis du sol. Des sphères similaires ont été prédites dans les arbres abattus, bien qu'elles n'aient pas pu être détectées par des moyens contemporains. Des expéditions ultérieures ont identifié de telles sphères dans la résine des arbres. L'analyse chimique a montré que les sphères contenaient des proportions élevées de nickel par rapport au fer, que l'on retrouve également dans les météorites, ce qui a conduit à la conclusion qu'elles sont d'origine extraterrestre. La concentration des sphères dans différentes régions du sol s'est également avérée cohérente avec la distribution attendue des débris d'une explosion météoroïde. 33Des études ultérieures des sphères ont trouvé des rapports inhabituels de nombreux autres métaux par rapport à leur environnement environnant, ce qui a été considéré comme une preuve supplémentaire de leur origine extraterrestre. 

L'analyse chimique des tourbières de la région a également révélé de nombreuses anomalies considérées comme compatibles avec un événement d'impact. L' isotope traceur du carbone , de l'hydrogène et de l'azote dans la couche des marais de 1908 s'est avéré incompatible avec les rapports isotopiques mesurés dans les couches adjacentes, et cette anomalie n'a pas été trouvée dans les marais situés à l'extérieur de la zone. La région marécageuse montrant ces signatures anormales contient également une proportion inhabituellement élevée d'iridium, similaire à la couche d'iridium trouvée à la limite Crétacé-Paléogène.. On pense que ces proportions inhabituelles sont le résultat de débris du corps en chute qui se sont déposés dans les marais. On pense que l'azote s'est déposé sous forme de pluie acide, conséquence possible de l'explosion. 34 ​35 ​36

Le chercheur John Anfinogenov a suggéré qu'une roche trouvée sur le site d'impact, connue sous le nom de pierre de John, est un vestige de la météorite, 37 mais l'analyse des isotopes de l'oxygène du quartzite suggère qu'elle est d'origine hydrothermale , et probablement liée au magmatisme du Permien . -Pièges triasiques sibériens . 38

Modèle d'impact terrestre 

La principale explication scientifique de l'explosion est l'explosion d'un astéroïde à 6-10 km au-dessus de la surface de la Terre.

Comparaison des tailles possibles des météorites de Tunguska (marque TM) et de Tcheliabinsk (CM) avec la Tour Eiffel et l'Empire State Building .

Les météores pénètrent chaque jour dans l'atmosphère terrestre depuis l'espace extra-atmosphérique, voyageant à une vitesse d'au moins 11 km/s. La chaleur générée par la compression de l'air devant le corps (pression dynamique) lors de son déplacement dans l'atmosphère est immense, et la plupart des météorites brûlent ou explosent avant d'atteindre le sol. Les premières estimations de l'énergie de l'explosion de Tunguska variaient de 10 à 15 mégatonnes de TNT (42 à 63 pétajoules ) à 30 mégatonnes de TNT (130 PJ), 39 selon la hauteur exacte de l'explosion telle qu'estimée lorsque les lois d'échelle du les effets des armes nucléaires sont employés . 39 40Les calculs les plus récents qui incluent l'effet de l'élan de l'objet montrent que plus d'énergie était concentrée vers le bas que ce ne serait le cas dans une explosion nucléaire, et estiment que l'explosion avait une gamme d'énergie de 3 à 5 mégatonnes de TNT. (13 à 21 P J). 40 L'estimation de 15 mégatonnes (Mt) représente une énergie environ 1 000 fois celle de la bombe d'Hiroshima , et à peu près égale à celle de l' Castle Bravoessai nucléaire l' énergie soviétique Test de la bombe de l'Union Tsar en 1961. 41Un article de 2019 suggère que la puissance explosive de l'événement de Tunguska aurait pu être d'environ 20 à 30 mégatonnes. 

Depuis la seconde moitié du XXe siècle , une surveillance étroite de l'atmosphère terrestre par l'observation d'infrasons et de satellites a montré que des explosions d'astéroïdes avec des énergies comparables aux armes nucléaires se produisent régulièrement, bien que des événements de la taille de Tunguska, de l'ordre de 5 à 15 mégatonnes, soient beaucoup plus rares. . 43 Eugene Shoemaker a estimé que des événements de 20 kilotonnes se produisent chaque année et que des événements de la taille de Tunguska se produisent environ une fois tous les 300 ans. 39 44 Des estimations plus récentes placent des événements de la taille de Tunguska environ une fois tous les mille ans, avec des rafales d'air de 5 kilotonnes en moyenne une fois par an. Quatre cinqOn pense que la plupart de ces explosions aériennes sont causées par des impacteurs d'astéroïdes, par opposition à des matériaux cométaires mécaniquement plus faibles, sur la base de leurs profondeurs de pénétration typiques dans l'atmosphère terrestre. 45 La plus grande explosion d'astéroïdes observée avec des instruments modernes a été la météorite de Chelyabinsk de 500 kilotonnes en 2013, qui a brisé des fenêtres et produit des météorites. 43

Modèle d'explosion 

L'effet de l'explosion sur les arbres près de l' hypocentre de l'explosion était similaire aux effets de l'opération Blowdown . Ces effets sont causés par l'onde de choc produite par de grandes explosions d'air. Les arbres directement sous l'explosion sont arrachés lorsque l'onde de choc se déplace verticalement vers le bas, mais restent debout, tandis que les arbres plus éloignés sont renversés car l'onde de choc se rapproche de l'horizontale lorsqu'elle les frappe.

Des expériences soviétiques au milieu des années 1960, avec des forêts modèles (faites d'allumettes sur des piquets métalliques) et de petites charges explosives glissées le long des fils, ont produit des motifs d'explosion en forme de papillon similaires au motif trouvé sur le site de Tunguska. Des expériences ont suggéré que l'objet s'était approché à un angle d'environ 30 degrés du sol et 115 degrés du nord et avait explosé en l'air. 

Astéroïde ou comète 

En 1930, l'astronome britannique FJW Whipple suggéra que le corps de Tunguska était une petite comète . Une comète est composée de poussières et de substances volatiles, telles que de la glace d'eau et des gaz gelés, et aurait pu être complètement vaporisée par impact avec l'atmosphère terrestre, ne laissant aucune trace évidente. L'hypothèse de la comète était étayée par les ciels lumineux (ou "sky flares" ou "bright nights") observés en Eurasie pendant plusieurs nuits après l'impact, peut-être expliqués par de la poussière et de la glace qui avaient été dispersées depuis la queue de la comète au niveau du sommet de l'atmosphère. 39 L'hypothèse cométaire a été largement acceptée parmi les chercheurs soviétiques de Tunguska dans les années 1960. 

En 1978, l'astronome slovaque Ľubor Kresák a suggéré que le corps était un fragment de la comète Encke . Il s'agit d'une comète périodique avec une période extrêmement courte de trois ans qui reste entièrement dans l'orbite de Jupiter . Il est également responsable des Beta Taurids , une pluie de météores annuelle avec un pic d'activité vers les 28 et 29 juin. L'événement Tunguska a coïncidé avec le pic d'activité de cette douche, 47 et la trajectoire approximative de l'objet Tunguska est cohérente avec ce qui serait attendu pour un fragment de la comète Encke. 39On sait maintenant que des corps de ce type explosent à des intervalles fréquents à des dizaines à des centaines de kilomètres au-dessus du sol. Les satellites militaires surveillent ces explosions depuis des décennies. 48 En 2019, les astronomes ont recherché d'hypothétiques astéroïdes d'environ 100 mètres de diamètre dans l'essaim de Tauride entre le 5 et le 11 juillet et du 21 juillet au 10 août. 49 Cependant, en février 2020, aucun rapport de découverte de tels objets n'avait été signalé.

En 1983, l'astronome Zdeněk Sekanina a publié un article critiquant l'hypothèse de la comète. Il a noté qu'un corps composé de matière cométaire, voyageant à travers l'atmosphère le long d'un chemin aussi peu profond, aurait dû se désintégrer, tandis que le corps de Tunguska est apparemment resté intact dans la basse atmosphère. Sekanina a soutenu que les preuves indiquaient un objet dense et rocheux, probablement d'origine astéroïde. 50 Cette hypothèse a encore été renforcée en 2001, lorsque Farinella, Foschini, et al .. a lancé une étude calculant les probabilités à partir de modèles orbitaux tirés des trajectoires atmosphériques de l'objet Tunguska. Ils ont conclu avec une probabilité de 83 % que l'objet se déplaçait sur une trajectoire d'astéroïdes provenant de la ceinture d'astéroïdes , plutôt que sur une comète (probabilité de 17 %). [ 1 ] Les partisans de l'hypothèse de comète ont suggéré que l'objet était une comète éteinte avec un manteau pierreux qui lui a permis de pénétrer l'atmosphère.

La principale difficulté dans l'hypothèse de l'astéroïde est qu'un objet pierreux aurait dû produire un grand cratère à l'endroit où il a heurté le sol, mais aucun cratère de ce type n'a été trouvé. Il a été émis l'hypothèse que le passage de l'astéroïde dans l'atmosphère a provoqué des pressions et des températures qui se sont accumulées jusqu'à un point où l'astéroïde s'est brusquement désintégré dans une énorme explosion. La destruction aurait dû être si complète qu'aucun débris de taille substantielle n'ait survécu, et les matériaux dispersés dans la haute atmosphère lors de l'explosion auraient fait briller le ciel. Des modèles publiés en 1993 suggéraient que le corps pierreux aurait un diamètre d'environ 60 mètres, avec des propriétés physiques quelque part entre une chondrite ordinaire et une chondrite carbonée. 51

Christopher Chyba et d'autres ont proposé un processus par lequel une météorite pierreuse aurait pu présenter un comportement d'impact de Tunguska. Leurs modèles montrent que lorsque les forces s'opposant à la descente d'un corps deviennent supérieures à la force de cohésion qui le maintient ensemble, il se désintègre, libérant presque toute son énergie d'un coup. Le résultat n'est pas un cratère, avec des dégâts répartis sur un rayon assez large, et tous les dégâts résultant de l'énergie thermique dégagée lors de l'explosion.

La modélisation numérique tridimensionnelle de l'impact de Tunguska par Utyuzhnikov et Rudenko en 2008 52 soutient l'hypothèse de la comète. Selon leurs résultats, la matière de la comète a été dispersée dans l'atmosphère, tandis que la destruction de la forêt a été causée par l'onde de choc.

Au cours des années 1990, des chercheurs italiens, coordonnés par le physicien Giuseppe Longo de l' Université de Bologne , ont extrait de la résine du cœur des arbres dans la zone d'impact pour examiner les particules piégées qui étaient présentes lors de l'événement de 1908. Ils ont trouvé des niveaux élevés de matériaux couramment trouvés. dans les astéroïdes rocheux et rarement trouvé dans les comètes. 53 54

Kelly et al . (2009) soutiennent que l'impact a été causé par une comète en raison d'observations post-impact de nuages ​​noctulescents , un phénomène causé par de grandes quantités de vapeur d'eau dans la haute atmosphère. Ils ont comparé le phénomène des nuages ​​noctulescents au panache d'échappement de la navette spatiale Endeavour de la NASA . 55 56 En 2013, l'analyse de fragments du site de Tunguska par une équipe conjointe américano-européenne était compatible avec une météorite de fer. 57

L' événement boule de feu de ChelyabinskFévrier 2013 a fourni de nombreuses données aux scientifiques pour créer de nouveaux modèles pour l'événement de Tunguska. Les chercheurs ont utilisé les données de Tunguska et de Tcheliabinsk pour mener une étude statistique de plus de 50 millions de combinaisons de propriétés de boules de feu et d'entrées qui pourraient produire des dommages à l'échelle de Tunguska en cas de rupture ou d'explosion à des altitudes similaires. Certains modèles se sont concentrés sur des combinaisons de propriétés qui ont créé des scénarios avec des effets similaires au modèle de chute d'arbres, ainsi que des ondes de pression sismiques et atmosphériques de Tunguska. 

Quatre modèles informatiques différents ont produit des résultats similaires ; Ils ont conclu que le candidat le plus probable pour l'impacteur Tunguska était un corps pierreux entre 50 et 80 m de diamètre, qui est entré dans l'atmosphère à environ 55 000 km/h, a explosé à une altitude de 10 à 14 km et a libéré une énergie explosive équivalente à entre 10 et 30 mégatonnes. Ceci est similaire à l'équivalent énergétique de l'explosion du1980 éruption volcanique du mont St. Helens . Les chercheurs ont également conclu que les impacteurs de cette taille ne frappent la Terre que sur une échelle d'intervalle moyenne de millénaires. 



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