Tulipandadorno

 L`art et la parolle naissent, selon vous...!

Hola primo petro, he aqui algunos de mis libros publicados en los estados Unidos, gracias al trabajo fabuloso de sus empleados y dueños se logro reparar el hakeo, mas de un año de busqueda. Hay 11 ejemplares de lo que he hecho ultimamente. Un beso al resto de la familia. jaime

E. H. Gombrich, Voir la nature, voir les peintures, Les Cahiers du Musée National de l'Art Moderne...

Lorsque M. Michaud a eu la gentillesse de m'inviter à participer à la série de conférences sur le sujet : Art de voir, Art de décrire, j'ai eu la témérité de répondre que j'aimerais parler de « Voir la nature, voir les peintures ». Je n'avais pas remarqué qu'en choisissant ce sujet je me préparais un piège dans lequel je suis pris maintenant. La raison en est simple : il me déplaît de parler de ces sujets en termes généraux ou abstraits. Je préfère pouvoir m'appuyer sur des démonstrations ad oculos. Il semblerait que je peux facilement vous démontrer ce que vous éprouvez lorsque vous regardez des peintures, mais cette affirmation même demande quelques réserves. En effet, je ne peux pas apporter des tableaux dans la salle de conférences, seulement des diapositives de tableaux que je suis obligé de vous montrer très agrandies et illuminées sur l'écran tandis que vous êtes assis plus ou moins dans le noir - ce qui n'est pas du tout la même chose que de regarder un tableau accroché à un mur. Mais, si j'ai un problème pour vous faire voir des peintures, j'en ai un autre deux fois plus sérieux pour vous faire voir la nature. 

Par « nature », j'entends simplement ce que l'esthétique traditionnelle appelait « l'imitation de la nature » et la seule nature que vous puissiez voir ici est l'intérieur de cette salle avec ses sièges et leurs occupants et avec moi qui vous parle... à condition que je ne sois pas obligé de plonger de nouveau la salle dansl'obscurité pour vous montrer des images. C'est sans doute ce genre de difficulté qui a empêché tant d'étudiants de notre sujet de regarder le problème en face - le problème de la comparaison de l'expérience de voir la nature avec celle de voir des peintures. Il est vrai que des historiens de l'art ont essayé plusieurs expériences intéressantes pour montrer comment des grands maîtres avaient interprété ou transformé leurs motifs. Le premier fut sans doute le professeur John Rewald, qui a identifié et photographié les endroits où Cézanne avait posé son chevalet pour peindre. Le plus récent des exemples que je connais figure dans le très beau catalogue de l'exposition Monet en Hollande. Je vous montre sa comparaison de l'un des tableaux de Monet avec la photographie du motif. 

Ce genre de juxtaposition est toujours intéressant à différents points de vue, mais il est clair qu'il suppose la question résolue. Bien sûr, la photo vous indique ce que le peintre voyait de l'endroit où il se trouvait ou ce que vous verriez si vous y alliez, mais elle ne peut pas vraiment vous communiquer l'expérience que vous auriez si vous regardiez au-delà du canal. Ce n'est pas que la photo soit complètement étrangère à notre sujet. La photographie repose sur les mêmes bases théoriques que la peinture d'un tableau, du moins depuis l'époque de la Renaissance italienne où L.B. Alberti a émis le postulat selon lequel le peintre devrait considérer son tableau comme la reproduction de la vue d'une fenêtre.[1] Ses raisons pour cette suggestion étaient parfaitement légitimes. Il avait appris par l'étude de l'optique que la lumière suit des lignes droites et que par conséquent les rayons de lumière réfléchie qui convergent du motif vers l'oeil forment un cône ou une pyramide imaginaire dont le sommet serait derrière la pupille. Le reste découle de la géométrie euclidienne ou plus spécifiquement de la géométrie descriptive et a été illustré au cours des cinq derniers siècles par de nombreux diagrammes, de Léonard de Vinci aux temps modernes.

Si « voir la nature » était simplement une question d'optique géométrique, nous pourrions en rester là, mais on sait depuis longtemps que la théorie mathématique est incapable de prédire notre expérience devant la nature. La géométrie indique évidemment qu'un objet projeté sur une surface plane doit être inversement proportionnel en dimensions à sa distance, autrement dit, si vous doublez la distance, ses dimensions diminuent de moitié. Cela résulte de la géométrie des triangles semblables car l'angle de vision sera diminué de moitié. Le diagramme sur l'écran prouve que l'image d'un enfant près de nous a les mêmes dimensions que celle d'un homme plus éloigné. C'est Voltaire qui a protesté clairement et emphatiquement contre cette affirmation dans sa Physique newtonienne, en particulier dans le chapitre VII de ce traité : Comment nous connaissons les distances, les grandeurs, les figures, les situations.[2] (...) il est démontré (...) qu'il se forme dans mon oeil un angle une fois plus grand, à très peu de choses près, quand je vois un homme à quatre pieds de moi que quand je vois le même homme à huit pieds de moi. Cependant je vois toujours cet homme de la même grandeur : comment mon sentiment contredit-il ainsi le mécanisme de mes organes ? (...) C'est en vain qu'on veut expliquer ce mystère par le chemin ou par la forme que prend le cristallin dans nos yeux. Quelque supposition que l'on fasse, l'angle sous lequel je vois un homme à quatre pieds de moi est toujours double de l'angle sous lequel je le vois à huit pieds ; et la Géométrie ne résoudra jamais ce problème ; la Physique y est également impuissante (...). 

Ces lignes et ces angles géométriques ne sont pas plus réellement la cause de ce que nous voyons les objets à leur place, que de ce que nous les voyons de telle grandeur et à telle distance. J'ai le plaisir de vous dire que c'est un aspect de votre vision de la nature que vous pouvez vérifier dans cette salle même ; en fait, cela devrait être assez facile ici, car les rangées de sièges sont à égale distance les unes des autres. Si vous comptez quatre rangées à partir de l'endroit où vous êtes assis, puis quatre autres, vous pouvez vérifier l'affirmation de Voltaire que les gens plus près de vous n'ont pas l'air de géants, ni ceux plus loin de vous de pygmées, mais qu'ils semblent tous être des humains de dimensions normales. La psychologie appelle cette expérience la constance de grandeur. Mais, même après avoir fait cette expérience et confirmé les arguments de Voltaire au sujet du rapport entre la géométrie descriptive et notre expérience de la réalité, je vous demande de ne pas conclure à la légère que la science optique avec ses diagrammes de rayons visuels n'a rien à voir avec notre perception. Nous allons avoir recours, une fois encore, à votre expérience de cette salle pour prouver le contraire car, en fait, l'architecte qui l'a conçue a dû tenir compte de l'optique des rayons visuels. Je lui en suis reconnaissant, car il m'est arrivé de faire une conférence avec des diapositives pour la Cooper Union à New York qui a une salle célèbre dans laquelle Abraham Lincoln a prononcé un discours historique en 1860. Certes, j'étais fier de lui succéder, mais j'ai été quelque peu effaré quand je suis arrivé dans la salle de constater que le plafond était soutenu par de nombreux piliers. Ceux dont la vue était obstruée par ces obstacles ne pouvaient évidemment pas voir l'écran avec mes illustrations. Il était facile de calculer, à l'aide, justement, de la géométrie descriptive, lesquels des sièges seraient ainsi désavantagés. Lorsque la ligne de vision était interrompue par des piliers, on ne pouvait voir l'image parce que, malheureusement, nous n'avons pas le don de voir autour des coins. Vous pouvez donc vous réjouir que cette salle ne soit pas une reproduction de la salle historique de la Cooper Union, mais vous pouvez répéter l'expérience en principe en allongeant le bras et en couvrant une partie de l'image sur l'écran pour voir quelle proportion en est cachée ou « occluse » pour parler comme les psychologues. En principe, c'est précisément ce que fait le peintre lorsqu'il se tient devant son motif et veut mesurer les dimensions exactes d'un arbre dans le fond par rapport à d'autres objets dans son champ de vision. Il tient son crayon ou son pinceau à bout de bras pour comparer la surface qu'il « occlut » avec les autres objets qu'il voit. Si Voltaire avait fait cette expérience, il aurait été surpris de découvrir que la personne à quatre pieds de lui cache deux fois la surface de celle qui est à huit pieds. Il aurait pu arriver à la conclusion paradoxale que, si la géométrie descriptive ne peut pas prévoir la façon dont nous voyons la nature, elle peut prédire infailliblement ce que nous ne voyons pas d'une scène devant nous, car c'est là que les lois de l'optique interviennent. Cette divergence entre l'expérience de la perception de la nature et les lois de la perspective peut être vérifiée avec une expérience très simple, que je vous demanderais de faire maintenant [3] si je ne craignais d'y passer trop de temps : vous prenez deux pièces de monnaie de dimensions différentes et tenez la plus petite entre les doigts de la main droite et la plus grande entre ceux de la main gauche. Maintenant, vous fermez un oeil et vous essayez d'aligner les deux pièces de façon à ce que la plus petite, qui doit être plus près de votre oeil, couvre, ou occlue, exactement la plus éloignée. La distance à laquelle ce phénomène se produira peut aussi être calculée par l'application de la géométrie descriptive. Mais maintenant ôtez la petite pièce, ou déplacez la plus grande vers le côté sans en changer la distance. Vous serez surpris de découvrir que Voltaire avait raison et que la plus grande paraît toujours plus grande bien que vous veniez de prouver que leurs dimensions descriptives sont exactement les mêmes....



Le Rire

Le Rire est un hebdomadaire humoristique qui connaît un grand succès d'octobre 1894 jusqu'aux années 1950. Edité à Paris par Félix Juven à la Belle Époque , Le Rire est apparu à une époque où les Parisiens devenaient plus cultivés, plus riches et avaient plus de temps libre. L'intérêt pour les arts, la culture et la politique ne cessera de croître au cours de la dernière décennie du XIXe siècle . Des messages comme celui-ci ont aidé à satisfaire sa curiosité.

De tous les hebdomadaires humoristiques, c'est le plus réussi. Ses illustrateurs les plus connus sont Jean Louis Forain , Félix Vallotton , Steinlen , Adolphe Willette , et surtout Toulouse-Lautrec , qui a réalisé 17 dessins (dont dix en couleur) entre 1894 et 1897.

Le rire est un réflexe à une émotion plaisante, qui se manifeste par un enchaînement de petites expirations saccadées accompagné d'une vocalisation inarticulée plus ou moins bruyante, et par une expression faciale associée à cette émotion. Ces mouvements concernent en premier lieu la musculature respiratoire et le larynx et sont accompagnés d'une mimique provoquée par la contraction de muscles faciaux, entraînant notamment l'ouverture de la bouche. D'autres mouvements plus ou moins contrôlés peuvent accompagner le rire.

Le rire est essentiellement causé par une situation comique, le chatouillement ou le rire lui-même. Paradoxalement, le rire est étroitement lié à son contraire émotionnel, les pleurs, avec qui il peut parfois se retrouver mélangé1. Il apparaît chez l'être humain aux alentours du quatrième ou cinquième mois.

Le rire peut avoir différentes sources :

  • le comique, l'humour ;
  • le chatouillement, qui déclenche un rire réflexe lié à la peur et/ou à l'amusement ;
  • d'autres rires : le rire est dans certaines circonstances communicatif, c'est-à-dire transmissible ;
  • le stress et la fatigue : un surcroît de sentiments difficiles à gérer peuvent entraîner un rire nerveux, un « fou-rire nerveux » ;
  • la consommation d'alcool, drogues et autres stupéfiants peut parfois déclencher le rire pour des raisons considérées comme peu drôles en temps normal ;
  • le protoxyde d'azote dit gaz hilarant provoque aussi le rire ;
  • après une peur : dans certaines cultures, telles que l'Asie, il est considéré comme normal de rire après une forte peur, pour éloigner les mauvais esprits ou un sentiment de peur.

Aujourd'hui, on commence à comprendre ce qui confère au rire cette dimension de partage irrésistible. Il s'agit probablement de phénomènes d'empathie assez fondamentaux, faisant intervenir les systèmes miroirs du cerveau, probablement les neurones miroirs : le psychologue Leonhard Schilbach, de l'Université de Cologne en Allemagne, a ainsi montré qu'une personne qui commence à rire suscite auprès de ceux qui l'observent une activité des neurones impliqués dans la contraction des muscles zygomatiques (impliqués dans le rire), même quand l'observateur ne rit pas lui-même. Il se produirait ainsi une préactivation de l'activité neurologique liée au rire par simple observation. L'être humain serait en quelque sorte « précâblé » pour le rire, et plus particulièrement en situation sociale ou communautaire2.

Des bandes sonores pré-enregistrées dites « pistes de rire », « rire en conserve » sont couramment utilisées dans certains spectacles d'humour ou de comédies filmées pour signaler un élément (plaisanteries, blagues, jeux de mots...) supposés comiques. Et des études récentes (publication 2019) ont montré qu'entendre ce rire a effectivement un certain impact sur l'humour perçu d'une blague médiocre, y compris chez des autistes. 

Une blague peu drôle associée à un rire est toujours perçue comme plus drôle par un plus grand nombre de spectateurs ou auditeurs que sans rire associé. De vrais éclats de rire spontanés renforcent encore cet effet. Lors des expériences, cet effet de « rigolade » se manifeste aussi pour des participants atteints d'un trouble du spectre autistique (effet relativement faible, mais statistiquement significatif) laissant penser que le rire des autres et le nôtre influence effectivement nos jugements, et que l'humour et la comédie seraient plus accessibles aux autistes qu'on ne le pensait auparavant.

Le rire est généralement anodin et n'a souvent que peu de conséquences sur la santé bien qu'il permettrait, selon son intensité, d'augmenter fortement le taux de sérotonine et de dopamine4 de telle sorte qu'il aurait un effet antidépresseur5. Il renforcerait les muscles de la sangle abdominale due aux contractions musculaires rythmées et souvent intenses.

Cependant, le rire peut dans de très rares cas être mortel. Des cas de mort causée par l'hilarité ont en effet été relatés dès l'antiquité. L'une des mentions les plus anciennes est la mort de Chrysippe de Soles, bien que la véracité de l'épisode soit incertaine. Des cas plus récents ne font quant à eux que peu de doutes. L'expression « mourir de rire » n'est donc pas totalement dénuée de fondement.

Dans son livre Le rire, le psychiatre Éric Smadja décrit la fabrication du rire selon trois étapes : psychique, cérébrale et motrice. La première fait intervenir différentes opérations psycho-affectives qui mettent en jeu les souvenirs, les émotions, la socialité, la communication. Un stimulus visuel (situation cocasse), auditif (blague, bruit), tactile (chatouillement) voire un souvenir, sont captés par les lobes du cortex cérébral (deuxième étape). Ces régions sont interconnectées au cortex frontal qui permet l'intégration de la valeur affective des informations sensorielles, analyse leur potentiel comique et programme le rire. 

Ces messages sont envoyés jusqu'au système limbique qui organise l'exécution de ce programme vers différents effecteurs, notamment le tronc cérébral qui déclenche la cascade de réactions physiologiques associées au rire. Différentes régions du tronc cérébral coordonnent l'action synergique dans les composantes sensitives, motrices et végétatives (rougeur, sudation), lesquelles créent une rétroaction vers le cerveau. L'intégration de cette rétroaction dans la mémoire de travail procure le sentiment de vivre une émotion.

Communication

La communication (du latin : communicare , signifiant "partager" ou "être en relation avec") [1] [2] [3] est généralement définie comme la transmission d' informations . Le terme peut également se référer uniquement au message communiqué ou au domaine d'enquête étudiant ces transmissions. Il existe de nombreux désaccords sur sa définition précise . [4] [5] John Peters soutient que la difficulté de définir la communication émerge du fait que la communication est à la fois un phénomène universel (parce que tout le monde communique) et une discipline spécifique de l'étude académique institutionnelle.[6] Une stratégie définitionnelle consiste à limiter ce qui peut être inclus dans la catégorie de la communication (par exemple, exiger une "intention consciente" pour persuader [7] ). Selon cette logique, une définition possible de la communication est l'acte de développer du sens entre des entités ou des groupes grâce à l'utilisation de signes , de symboles etde conventions sémiotiques suffisamment compris mutuellement

Une distinction importante est faite entre la communication verbale, qui passe par l'utilisation d'un langage, et la communication non verbale , par exemple, par des gestes ou des expressions faciales. Les modèles de communication tentent de fournir une explication détaillée des différentes étapes et entités impliquées. Un modèle influent est donné par Claude Shannon et Warren Weaver , qui soutiennent que la motivation communicative incite l'expéditeur à composer un message, qui est ensuite encodé et transmis. Une fois arrivé à destination, il est décodé et interprété par le récepteur. [8] [9] [10] La communication est étudiée dans divers domaines. Théorie de l'informationétudie la quantification, le stockage et la communication de l'information en général. Les études de communication s'intéressent à la communication humaine tandis que la science de la biocommunication s'intéresse à toute forme de communication entre les organismes vivants.

La communication peut être réalisée visuellement (par des images et un langage écrit ), par des moyens auditifs , tactiles / haptiques (par exemple en braille ou d'autres moyens physiques), olfactifs , électromagnétiques ou biochimiques (ou toute combinaison de ceux-ci). La communication humaine est unique en raison de son utilisation intensive du langage abstrait .

La communication est généralement comprise comme la transmission d'informations. [11] [12] [13] À cet égard, un message est transmis d'un expéditeur à un récepteur en utilisant une certaine forme de support, comme le son, le papier, les mouvements corporels ou l'électricité. [14] [15] [16] Dans un sens différent, le terme « communication » peut également se référer uniquement au message qui est communiqué ou au domaine d'enquête étudiant de telles transmissions . [11] [13]Il existe de nombreux désaccords concernant la caractérisation précise de la communication et divers chercheurs ont émis des doutes sur le fait qu'une définition unique puisse saisir le terme avec précision. Ces difficultés viennent du fait que le terme est appliqué à divers phénomènes dans des contextes différents, souvent avec des significations légèrement différentes. [17] [18] Malgré ces problèmes, la question de la bonne définition est d'une grande importance théorique puisqu'elle affecte le processus de recherche à tous les niveaux. Cela inclut des questions telles que les phénomènes empiriques observés, comment ils sont catégorisés, quelles hypothèses et lois sont formulées ainsi que la manière dont les théories systématiques basées sur ces étapes sont articulées. [17]Le mot "communication" a sa racine dans le verbe latin "communicare", qui signifie "partager" ou "rendre commun". [14]

Certains théoriciens donnent des définitions très larges de la communication qui englobent les comportements inconscients et non humains. [17] À cet égard, de nombreux animaux communiquent au sein de leur propre espèce et on peut dire que même des plantes comme les fleurs communiquent en attirant les abeilles. [14] D'autres chercheurs restreignent la communication aux interactions conscientes entre les êtres humains. [17] [14] Certaines définitions se concentrent sur l'utilisation de symboles et de signes tandis que d'autres mettent l'accent sur le rôle de la compréhension, de l'interaction, du pouvoir ou de la transmission des idées. Diverses caractérisations voient l' intention du communicateurpour envoyer un message en tant que composant central. De ce point de vue, la transmission d'informations n'est pas suffisante pour la communication si elle se produit involontairement. [17] Une version importante de ce point de vue est donnée par Paul Grice , qui identifie la communication avec des actions qui visent à rendre le destinataire conscient de l'intention du communicateur. [19] Une question à cet égard est de savoir si seule la transmission réussie d'informations doit être considérée comme une communication. [17] Par exemple, la distorsion peut interférer et modifier le message réel par rapport à ce qui était initialement prévu. [15] Un problème étroitement lié est de savoir si les actes de tromperie délibérée constituent une communication.[17]

Selon une définition influente et large de IA Richards , la communication se produit lorsqu'un esprit agit sur son environnement afin de transmettre sa propre expérience à un autre esprit. [18] [20] Une autre caractérisation importante est due à Claude Shannon et Warren Weaver . Selon eux, la communication implique l'interaction de plusieurs composants, tels qu'une source, un message, un encodeur, un canal, un décodeur et un récepteur. [18] La forme paradigmatique de communication se produit entre deux ou plusieurs individus. Cependant, il peut également avoir lieu à un niveau plus large, par exemple entre des organisations, des classes sociales ou des nations. [14] Niklas Luhmann rejette l'idée que la communication est, à son niveau le plus fondamental, une interaction entre deux parties distinctes. Au lieu de cela, il soutient que "seule la communication peut communiquer" et tente de fournir une conceptualisation en termes de systèmes autopoïétiques sans aucune référence à la conscience ou à la vie. [21] John Peters voit la communication comme "une réponse apparente aux divisions douloureuses entre soi et les autres, privé et public, et pensée intérieure et monde extérieur."

La communication verbale est la transmission orale ou écrite d'un message. Le langage humain peut être défini comme un système de symboles (également appelés lexèmes ) et les grammaires ( règles ) par lesquelles les symboles sont manipulés. Le mot "langue" fait également référence aux propriétés communes des langues. L'apprentissage des langues se produit normalement de manière plus intensive pendant l'enfance humaine. La plupart des nombreuses langues humaines utilisent des modèles de sons ou de gestes pour les symboles qui permettent la communication avec les autres autour d'eux. Les langues ont tendance à partager certaines propriétés, bien qu'il y ait des exceptions. Langues construitestels que l'espéranto , les langages de programmation et divers formalismes mathématiques ne sont pas nécessairement limités aux propriétés partagées par les langages humains. [ citation nécessaire ]

Les divers efforts des communicateurs pour produire et interpréter le sens dans la langue sont fonctionnellement limités par la phonologie prototypique de cette langue (sons qui apparaissent généralement dans une langue), la morphologie (ce qui compte comme un mot), la syntaxe (ordre des mots), la sémantique (sens conventionnel de mots), et la pragmatique (quelles significations sont conventionnelles à quels contextes). [ citation nécessaire ]

Les significations attachées aux mots peuvent être littérales ou autrement appelées dénotatives; se rapportant au sujet discuté, ou, les significations tiennent compte du contexte et des relations, autrement dit connotatif ; relatives aux sentiments, à l'histoire et à la dynamique du pouvoir des communicateurs. [23]

Contrairement à la croyance populaire, les langues des signes du monde (par exemple, la langue des signes américaine ) sont considérées comme une communication verbale parce que leur vocabulaire des signes, leur grammaire et d'autres structures linguistiques respectent toutes les classifications nécessaires en tant que langues parlées. Il existe cependant des éléments non verbaux dans les langues signées, tels que la vitesse, l'intensité et la taille des signes qui sont faits. Un signataire peut signer "oui" en réponse à une question, ou il peut signer un oui lent et sarcastique pour transmettre une signification non verbale différente. Le signe oui est le message verbal tandis que les autres mouvements ajoutent une signification non verbale au message.

Au fil du temps, les formes et les idées sur la communication ont évolué grâce à la progression continue de la technologie. Les progrès comprennent la psychologie des communications et la psychologie des médias , un domaine d'étude émergent. [ citation nécessaire ]

La progression de la communication écrite peut être divisée en trois « révolutions de la communication de l'information » : [24]

  1. La communication écrite a d'abord émergé grâce à l'utilisation de pictogrammes. Les pictogrammes étaient gravés dans la pierre, la communication écrite n'était donc pas encore mobile. Les pictogrammes ont commencé à développer des formes standardisées et simplifiées.
  2. L'étape suivante s'est produite lorsque l'écriture a commencé à apparaître sur du papier , du papyrus, de l'argile, de la cire et d'autres supports avec des systèmes d'écriture communément partagés . La communication est devenue mobile.
  3. La dernière étape est caractérisée par le transfert d'informations par le biais d'ondes contrôlées de rayonnement électromagnétique (c'est-à-dire radio, micro-ondes, infrarouge) et d'autres signaux électroniques .

La communication est donc un processus par lequel le sens est attribué et transmis dans le but de créer une compréhension partagée. Gregory Bateson l'a appelé "la réplication des tautologies dans l'univers.  Ce processus, qui nécessite un vaste répertoire de compétences dans le traitement interpersonnel , l'écoute, l'observation, la parole, le questionnement, l'analyse, les gestes et l'évaluation permet la collaboration  et coopération.

La communication non verbale explique les processus qui véhiculent un type d'information sous forme de représentations non linguistiques. Des exemples de communication non verbale comprennent la communication haptique , la communication chronique , les gestes , le langage corporel , les expressions faciales , le contact visuel , etc. La communication non verbale est également liée à l'intention d'un message. Des exemples d'intention sont des mouvements volontaires, intentionnels comme serrer la main ou un clin d'œil, ainsi que des mouvements involontaires, comme la transpiration. [31] La parole contient également des éléments non verbaux connus sous le nom de paralangage , par exemple le rythme , l' intonation , le tempo, et le stress . Il affecte la communication le plus au niveau subconscient et établit la confiance. De même, les textes écrits incluent des éléments non verbaux tels que le style d'écriture, la disposition spatiale des mots et l'utilisation d' émoticônes pour transmettre des émotions.

La communication non verbale démontre l'une des lois de Paul Watzlawick : vous ne pouvez pas ne pas communiquer. Une fois que la proximité a pris conscience, les créatures vivantes commencent à interpréter tous les signaux reçus. [32] Certaines des fonctions de la communication non verbale chez l'homme sont de compléter et d'illustrer, de renforcer et d'accentuer, de remplacer et de substituer, de contrôler et de réguler, et de contredire le message dénotatif.

Les signaux non verbaux sont fortement utilisés pour exprimer la communication et pour interpréter la communication des autres et peuvent remplacer ou substituer les messages verbaux.

Il existe plusieurs raisons pour lesquelles la communication non verbale joue un rôle vital dans la communication :

  • "La communication non verbale est omniprésente." [33] Ils sont inclus dans chaque acte de communication. Pour avoir une communication totale, tous les canaux non verbaux tels que le corps, le visage, la voix, l'apparence, le toucher, la distance, le timing et d'autres forces environnementales doivent être engagés lors de l'interaction en face à face. La communication écrite peut également avoir des attributs non verbaux. Les e-mails, les chats Web et les médias sociaux ont des options pour modifier les couleurs de police du texte, la papeterie, ajouter des émoticônes, des majuscules et des images afin de capturer des signaux non verbaux dans un support verbal. [34]
  • "Les comportements non verbaux sont multifonctionnels." [35] De nombreux canaux non verbaux différents sont engagés en même temps dans des actes de communication et permettent l'envoi et la réception de messages simultanés.
  • "Les comportements non verbaux peuvent former un système de langage universel." [35] Sourire, pleurer, pointer du doigt, caresser et fixer sont des comportements non verbaux qui sont utilisés et compris par les personnes, quelle que soit leur nationalité. Ces signaux non verbaux permettent la forme de communication la plus élémentaire lorsque la communication verbale n'est pas efficace en raison des barrières linguistiques.

Lorsque des messages verbaux contredisent des messages non verbaux, on s'appuie sur l'observation du comportement non verbal pour juger des attitudes et des sentiments d'autrui, plutôt que de supposer la vérité du seul message verbal. [ citation nécessaire ]

La communication non verbale peut prendre les formes suivantes :

  • La paralinguistique sont les éléments autres que la langue où la voix est impliquée dans la communication et comprend les tonalités , la hauteur , les signaux vocaux, etc. Elle comprend également les sons de la gorge et tous ceux-ci sont fortement influencés par les différences culturelles à travers les frontières.
  • La proxémie traite du concept de l' élément spatial dans la communication. La proxémie explique quatre zones d'espaces, à savoir intime, personnel, social et public. Ce concept diffère d'une culture à l'autre car l'espace autorisé varie selon les pays.
  • Les artefacts étudient les signaux non verbaux ou la communication qui émergent des accessoires personnels tels que la robe ou les accessoires de mode portés et cela varie selon la culture car les gens de différents pays suivent différents codes vestimentaires.
  • Chronemics traite des aspects temporels de la communication et comprend également l'importance accordée au temps. Certains problèmes expliquant ce concept sont les pauses, les silences et les délais de réponse lors d'une interaction . Cet aspect de la communication est également influencé par les différences culturelles car il est bien connu qu'il existe une grande différence dans la valeur donnée par les différentes cultures au temps.
  • La kinésique traite principalement du langage corporel tel que les postures , les gestes , les hochements de tête , les mouvements des jambes, etc. Dans différents pays, les mêmes gestes et postures sont utilisés pour transmettre des messages différents. Parfois, même un kinésique particulier indiquant quelque chose de bien dans un pays peut avoir une signification négative dans une autre culture.

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